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26/01/16 - Réunion DP TCR du 14 janvier 2016
Mars 2014
Publié le 25 avril 2014 à 11h41 - Mis à jour le 16 décembre 2020 à 20h01
N° de question | QUESTIONS | REPONSES DE LA DIRECTION |
65070 / 03.14 / 6 | Entretiens annuels (SUD) Un certain nombre de salariés ne font pas leurs entretiens annuels avec leur N+1, mais avec leur N+2, pour diverses raisons : Soit à l’initiative d’un directeur opérationnel, soit le N+1 refuse de faire l’entretien du salarié et avec l’approbation du N+2, ce dernier se charge de faire les entretiens. Les véritables problèmes ne sont pas abordés et dans la quasi-totalité des cas, la facilité consiste à imputer au seul salarié l’entière responsabilité de cette situation. De ce point de vue, il existe bien pour les entretiens des zones de non droit, la fonction RH restant en dehors de la boucle. Outre le fait que la situation n’étant pas officiellement éclaircie, elle a peu de chances de s’améliorer, se pose un problème. Le N+1 n’ayant pas participé à la tenue des entretiens, son nom figure pourtant bien sur les supports comme étant le rédacteur du document. Electroniquement, le N+2 n’a pas accès à l’élaboration du document proprement dit. Sur le terrain, il est donc demandé par les N+2 aux salariés de leur laisser prendre la main dans Talent, sur le PC de ces derniers. Cette manipulation en dehors des règles de l’entreprise masque la réalité du préjudice subi par le salarié concerné. SUD réclame : 1. De savoir pourquoi, pour ces cas particuliers, le nom du N+1 n’est pas remplacé par le nom et la fonction du N+2 qui a effectivement fait les entretiens. 2. De connaitre la fonction qui a la possibilité de pouvoir donner les droits afin que le N+2 ait accès pour les entretiens, aux fichiers des supports. De pouvoir faire l’entretien sur version papier. |
Nous n’avons pas connaissance de telles pratiques qui ne peuvent être qu’exceptionnelles. Si le salarié en fait la demande, l’entretien peut être réalisé en formulaire papier. |
65070 / 03.14 / 8 | Décompte CTI dans worflow (SUD) Il existe dans worflow pour chaque salarié, un tableau récapitulatif des séances de travail disponibles qui précise pour le CTI un nombre de jours, dont une partie en heures. Pour les non cadres, la feuille de paie ne recensant que les heures, la formulation utilisée dans worflow est fausse. L’unité officielle de la mesure du temps dans ce compteur est l’heure. SUD réclame : 1. La suppression pour les non cadres de l’information CTI en jours dans le tableau. 2. De connaître la procédure d’accès à l’historique des congés depuis la création du CTI, pour un salarié qui contesterait les chiffres du tableau de son récapitulatif personnel. |
L’affichage dans le workflow du solde du CTI en jours a été décidé par la Direction afin que le salarié ait connaissance du nombre de jours précis dont il dispose. Il n’est pas envisagé à ce jour de revenir sur cette décision. Il est possible de reconstituer l’historique des acquisitions et des prises de CTI depuis la création du capital temps et depuis la mise en place des 35 heures. Cette information peut être communiquée par le service paie à la demande du salarié. |
65070 / 03.14 / 10 | Dématérialisation des processus RH (SUD) Le libellé nous laisse perplexes, comment un processus pourrait-il avoir une dimension matérielle ? Faut-il interpréter cela comme la suppression de certains processus RH ? Au-delà du titre, l’info visible sur BPU précise qu’il est désormais possible aux salariés de mettre à jour directement via l’Espace RH, leurs données personnelles. Il est également indiqué que les salariés doivent être en mesure de fournir les justificatifs dans le cadre d’audits. S’agissant de données personnelles, il nous paraît important de faire la part de ce qui peut être obligatoire et de ce qui reste soumis à la volonté du salarié de divulguer ou non à l’employeur. SUD réclame : 1. D’avoir la liste précise des informations privées qu’un employeur est en droit de réclamer aux salariés. Par défaut, le reste sera donc soumis à la volonté de ces derniers de transmettre ou non les informations. Concernant les audits, de savoir : 2. Qui peut être habilité à les faire (entité interne entreprise ? externe ?) a. Pour quelle raisons b. Si les salariés sont informés qu’un audit de leurs données personnelles va être effectué c. Si les (et non des) représentants du personnel sont dans la boucle d’information. d. Si des audits de ce type ont déjà été effectués Si oui à quelle date |
Certains processus RH « papier » vont être remplacés par des processus « informatiques » plus simples et plus rapides, mais ne seront pas supprimés. Nous vous rappelons le principe général suivant : en tant qu’employeur et responsable de traitement, Renault collecte et traite les données à caractère personnel de ses salariés, nécessaires et pertinentes au regard des objectifs des processus RH mis en œuvre (paie, parcours de carrière, mobilité, etc.…). Dans ce cadre, Renault s’acquitte de l’ensemble des obligations prévues par la loi informatique et libertés du 6 janvier 1978 modifiée. Un salarié pouvant actualiser sa fiche individuelle, certaines données le concernant (exemples : famille, identité, adresse, compte bancaire…), Renault se réserve le droit de demander les justificatifs associés. |
65070 / 03.14 / 11 | Mission à l’étranger (SUD) Lorsqu’une personne est appelée à partir ponctuellement à l’étranger pour l’entreprise, cela bouleverse le temps de la mission, l’organisation familiale et engendre pour certains salariés, des frais supplémentaires de gardes pour les enfants. SUD réclame que ces dépenses soient prises en compte dans les frais réels de déplacements propres à la mission. |
Renault s’engage à ce que les déplacements professionnels, lorsqu’ils sont nécessaires, soient planifiés au plus tôt afin de permettre au collaborateur de s’organiser dans les meilleures conditions. Il n’est pas prévu de mesures complémentaires. |
65070 / 03.14 / 23 | JOB GRADING (SUD) Après s’être engagé en accord avec la hiérarchie pour un période de 4 ans, un cadre, au bout de huit mois s’est vu demandé lors de l’entretien bilan de 2013, de stopper son activité sur le poste. La raison invoquée serait que ce salarié n’aurait plus au regard de Job grading, le niveau suffisant pour tenir le poste. Aucun remplaçant n’étant encore trouvé, il lui serait laissé 4 mois pour se trouver un nouveau poste. SUD dénonce : 1. La brutalité de la méthode utilisée mettant en danger le salarié. 2. La contradiction complète avec le guide de l’entretien et le soutien aux salariés annoncé par la direction. 3. L’absence de cohérence entre le contenu technique des postes et la classification administrative job grading, puisqu’à l’origine, la hiérarchie du secteur avait considéré que le salarié avait les qualités requises pour pouvoir le tenir. SUD réclame : 1. De connaître s’ils existent, les garde-fous prévus par la société Hay, pour éviter ce type de dysfonctionnement. 2. De savoir pourquoi la fonction RH n’est pas intervenue pour éviter que le salarié ne soit évincé d’un poste tenu depuis presqu’un an. 3. De savoir pour quelles raisons une classification administrative serait prioritaire sur les critères techniques de terrain. 4. De connaître les dispositions que compte prendre rapidement la direction pour éviter que pareille situation catastrophique sur le plan humain, ne puisse se renouveler. |
Il s’agit d’un cas individuel dont nous n’avons pas connaissance. Ce cas ne sera pas traité dans cette instance. Le salarié peut contacter son RRH. |
65070 / 03.14 / 26 GPEC | Secteur achats (SUD) A l’un des salariés des achats qui souhaitait utiliser une des options possibles de la GPEC, il a été répondu que ce secteur étant classé direction critique, cela n’était pas possible. Outre l’étonnement qu’il puisse y avoir des directions opérationnelles classées critiques ou sensibles, SUD réclame : 1. D’avoir la version de la direction sur le fait que des salariés de certaines directions ne pourraient pas bénéficier de la GPEC 2. Si tel est le cas, de savoir sur quel article d’accord s’articule ce blocage administratif 3. La liste exhaustive des directions et services concernés 4. Quels sont les recours ou artifices administratifs prévus afin que tous les salariés puissent bénéficier de la GPEC indépendamment de leur direction opérationnelle de rattachement. Si ce blocage administratif n’existe pas, qu’un message soit passé rapidement afin que ce mensonge disparaisse. |
Il convient de se référer au listing des compétences critiques et sensibles par métier, dans la plaquette « charge ». L’accord du 4 février 2011 sur la GPEC prévoit : |
65070 / 03.14 / 30 | Pouvoir d’achat (SUD) Les AGS ayant été pour 2014 supprimées pour les Etam, les enveloppes de promotions ayant fortement diminué, il est évident que beaucoup de salariés vont voir leur pouvoir d’achat amputé une nouvelle fois, alors que l’entreprise dégage des bénéfices et que le volume de liquidités est élevé. SUD réclame : 1. Une augmentation de 300 € des salaires de base 2. De savoir si une partie du free-cash-flow sera utilisé pour constituer partiellement ou totalement la PPG des éligibles à cette prime. |
Cette question ne relève pas de l’instance DP. |
65070 / 03.14 / 31 | Prime de 500 € (SUD) Les annonces direction concernant le plan de promotion 2014 indique la possibilité pour le hiérarchique de pouvoir attribuer une prime de 500 € à un salarié. SUD réclame : 1. De savoir quel est le montant global prévu par la direction pour l’enveloppe de cette prime sur le site du TCR. 2. Quel pourcentage de salariés cela représente pour chaque direction opérationnelle, chaque service, et chaque UET. 3. Quelles seront les fonctions qui décideront de l’attribution de la prime à un salarié 4. De savoir si cette enveloppe spécifique de prime sera gérée par direction ou par service 5. De connaître les critères retenus dans les prestations des salariés pour être éligibles à cette prime. 6. De savoir, si cette prime est bien liée aux prestations des salariés durant l’année 2013, comment se fera le passage d’infos et les arbitrages suite à la réorganisation du milieu d’année pour laquelle, beaucoup de salariés ont changé de direction, de service, voire d’UET et de CUET. 7. De connaître les cotisations auxquelles cette prime sera soumise. |
Dans le cadre du plan de promotion 2014, les managers auront la possibilité de reconnaître la performance et l’engagement individuel par l’attribution d’une prime fixée à 500 euros, pour 2014 et 40% des Etam pourraient être concernés. En cas de changement de hiérarchique récent, le nouveau manager se rapproche de l’ancien manager. Cette prime est soumise aux cotisations classiques applicables aux salaires. |
65070 / 03.14 / 37 | Paiement des heures de nuit, sur la forme (SUD) Suite à plusieurs questions envoyées directement au pôle paie à propos du paiement en retard d’heures travaillées la nuit, ce dernier a fini par répondre fin février, que « la question a été posée auprès de l’établissement via les questions DP. Ce canal ayant été activé, il répondra aux questions ». Il y a manifestement un problème de communication. Si le pôle paie possède les réponses, pourquoi ne les a-t-il pas données aux personnes qui préparent les réunions DP ? Les questions sont posées depuis plusieurs mois et à ce jour nous attendons toujours les réponses. SUD réclame : 1. De savoir si le pôle paie a adopté une attitude consistant à ne pas répondre aux questions posées directement par les élus et si nous devons considérer que toutes les réclamations doivent passer par le biais des questions DP. Ce qui en terme de longueur d’instance, ne va pas dans le bon sens. 2. De connaître les raisons des difficultés que nous rencontrons à obtenir les modalités de calcul de paiement des heures de nuit et des temps de repos associés. 3. D’avoir la confirmation que le pôle paie utilise bien des règles strictes pour le calcul du paiement des heures de nuit. |
Les réponses à vos questions ont été apportées au compte rendu du mois dernier (question 21). Toute demande individuelle de paiement de la prime occasionnelle pour essai de nuit, d’un montant forfaitaire de 83,54€, doit être transmise après réalisation de l’essai, au pôle paie (service.paie@renualt.com) par le manager. |
65070 / 03.14 / 38 | Paiement des heures de nuit, sur le fond (SUD) Malgré des questions posées il y a plusieurs mois, nous n’avons toujours pas le mode de calcul et les détails qui aboutissent aux paiements des heures travaillées et des temps de repos. Des salariés attendent des réponses. A partir d’un exemple, pour une nuit travaillée du jeudi 20/02 à 22h00 au vendredi 21/02/ à 6h00, le salarié est en repos le jeudi a partir de 11h et en repos vendredi, pour respecter les 11h d’interruption. SUD réclame de savoir (Merci de donner le détail des calculs) 1. Combien la nuit sera payée pour un taux horaire de 19,043€ 2. S’il y a une prime de nuit et de quel montant 3. S’il y a une prime de panier et de quel montant 4. Comment les repos obligatoires amont et aval sont payés 5. La saisie de la nuit dans l’HV entraine beaucoup de corrections de badgeage, s’il y a une incrémentation du repos compensateur 6. Pourquoi le repos compensateur n’est plus visible sur la fiche de paye 7. Quel est le nombre maximal d’heures pouvant être travaillées la nuit |
Les réponses à vos questions ont été apportées au compte rendu du mois dernier (question 21). Toute demande individuelle de paiement de la prime occasionnelle pour essai de nuit, d’un montant forfaitaire de 83,54€, doit être transmise après réalisation de l’essai, au pôle paie (service.paie@renualt.com) par le manager. |
65070 / 03.14 / 42 | Formation de prestataires à la charge de Renault (SUD) Certaines sociétés de prestation ont trouvé un moyen infaillible de pouvoir former leurs salariés à moindre coût. La société sous-traitante embauche des ingénieurs tout justes sortis de l’école, et plutôt que de les accueillir en agence pour les former, les installe à des postes de techniciens sur le TCR. Au bout de 6 mois, changement d’affectation pour prendre un poste en rapport avec leur diplôme. Résultat, durant cette demi-année, ce sont des Renault qui ont assuré la formation et tout recommence avec un nouvel ingénieur. SUD alerte la direction sur ce type de pratique et réclame d’avoir de savoir : 1. Si la direction est informée de cette pratique 2. S’il elle cautionne ce type de fonctionnement 3. Si cela fait partie intégrante du contrat de prestation passé. |
Il existe un processus de déclenchement des formations aux outils spécifiques Renault, seules formations autorisées dans le cadre d’une prestation. Pour chaque demande, un contrôle est fait pour s’assurer qu’il s’agit :
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65070 / 03.14 / 54 | Nettoyage bouches aération (SUD) Courant S08 & S09, dans la ruche, les bouches d’aspiration situées au plafond ont été nettoyées par les salariés de la société PEI. Ils ne portaient pas de masque de protection. SUD réclame une intervention de la direction afin que tous les salariés aient tous les moyens nécessaires pour travailler dans les meilleures conditions, et disposent des protections nécessaires à leurs activités. |
Les grilles de ventilation sont nettoyées en utilisant un aspirateur donc il n’est pas obligatoire de porter un masque. |
65070 / 03.14 / 55 | Santé, sécurité et condition de travail, sol glissant (SUD) Le 12/02/2014 à 7:30 les sols entre le portique de la gare routière et l’entrée du TCR étaient verglacés, et n’avaient pas été salés. SUD réclame de connaître la raison pour laquelle la mise en sécurité de cette zone n’a pas pu être faite. |
Un salage préventif minimum a été fait sur les zones identifiées le 12 février. Cette zone n’était pas identifiée comme glissante et nous n’avons pas reçu d’alerte spécifique. Nous vous rappelons que tout un chacun peut appeler le 11800. |
65070 / 03.14 / 56 | Fontaines à eau (SUD) Une information des conditions de travail précise qu’une révision des 240 fontaines à eau du site est pratiquée annuellement par la société Sélecta et que lors d’interventions de dépannage à la demande des clients, un nettoyage peut être effectué en cours d’année. Nous constatons que certaines fontaines présentent toujours du tartre et de l’oxydation à la sortie des conduits de distribution ou voir détériorés comme celle du CRPV poteau B20. Il convient donc de se comprendre sur la notion de nettoyage. SUD réclame : 1. De connaître les éléments du cahier des charges précisant ce que recouvre un nettoyage de fontaine. 2. De savoir si le détartrage de l’ensemble des conduits de distribution et de la vasque inox de réception fait bien partie de cette opération. 3. Qu’une remise en état de l’ensemble des fontaines soit effectuée dans les 2 mois qui viennent. |
Se rapprocher de Michel JALASJA pour obtenir les éléments de réponse. De plus cette question est de la compétence des CHSCT dans lesquels les informations ont déjà été fournies. |
65070 / 03.14 / 57 CRPV | Moyens mis à disposition pour s’hydrater (SUD) SUD réclame de connaître le nombre et les emplacements des fontaines à eau mises en place sur le bâtiment du CRPV. De plus, il a été demandé à des salariés de cacher des frigos situés près des postes de travail. Nous rappelons que lors des périodes de chaleur, les salariés travaillant au CRPV sont soumis à des contraintes thermiques importantes pouvant aller à plus de 35 degrés et que les frigos permettent de rafraîchir les bouteilles d’eau achetées par les salariés. Les frigos sont bien indispensables pour pouvoir tenir des journées de travail sous chaleur excessive. Les salariés de ces secteurs n’étant pas des responsables des défauts thermiques du bâtiment, il n’y a pas lieu de cacher le matériel permettant d’en atténuer faiblement les effets. SUD réclame : 1- Que cesse la pression sur les salariés pour que les frigos soient éloignés de leur poste de travail. Le fait qu’il existe des distributeurs de boissons fraîches payantes ne peut être une raison valable. 2- Que les directions opérationnelles fournissent gratuitement aux salariés, les bouteilles d’eau nécessaires lorsque la chaleur extérieure le justifie. |
Nous documentons la question. Un fichier d’implantation, indiquant précisément les emplacements de l’ensemble du parc Fontaines se trouve chez M. JALASJA. |
65070 / 03.14 / 58 | Don du sang (SUD) Par clic info, la direction a informé les salariés des journées de collecte de sang sur le TCR et incité ces derniers à y participer en rappelant le nombre de vies sauvées grâce aux dons. Elle a invité à rejoindre la grande chaîne du don et indiqué qu’elle comptait sur les salariés. Si nous partageons totalement l’appel lancé, nous regrettons vivement que la direction ne commence pas par montrer l’exemple. Désormais, le repos indispensable pour certaines personnes après un don, est pris sur les congés. Pas de quoi espérer des donneurs plus nombreux. SUD réclame qu’au titre de la cohérence entre les discours et les actes, la journée soit à nouveau accordée aux donneurs, comme cela était le cas il y a quelques années. |
Le don du sang se passe de la façon suivante : le donneur ne doit pas être à jeun. Après un entretien sur l’état de santé du donneur, le médecin juge (état de fatigue compris) si le don est possible. Selon le poids, l’état du donneur, la poche sera plus ou moins « remplie ». Après le don, un temps de « repos » est prévu au sein même du lieu de don, afin de reprendre des forces en renouvelant rapidement le volume sanguin : collation composée de jus de fruits, sandwich, gâteaux. Il est nécessaire de boire régulièrement après le don. Il n’est pas prévu l’attribution d’un jour de congé supplémentaire pour les dons de sang. |
65070 / 03.14 / 59 | Déplacement en toute sécurité (SUD) On observe de plus en plus de salariés se déplaçant dans l’enceinte du site avec l’ordinateur portable ouvert sur sa main afin d’y consulter un lieu de RDV ou avoir un œil sur Communicator. Cette pratique engendre de grand risque de chute. Il est par exemple impossible avec une telle pratique de tenir la rampe dans un escalier tout en tenant son ordinateur d’une main, ou bien de rester vigilant à ce que cela ne présente pas de risque pour les personnes croisées au passage de portes, puisque les yeux sont occupés à regarder l’écran. SUD réclame de connaitre les dispositions que la direction compte prendre pour supprimer ces risques : 1. Soit en mettant à disposition s’ils existent, des outils physiques électroniques qui évitent cela. 2. Soit, si cela n’est pas possible, en interdisant cette pratique sur le site. |
Des actions de communication ont déjà été réalisées et devraient se poursuivre dans l’année ou les années à venir. Un travail est également prévu avec les services informatiques pour communiquer sur la bonne utilisation des éléments de veille. |
65070 / 03.14 / 63 | Instance DP et compteur HV (SUD) Le 16 Janvier 2014, les questions DP se sont terminées à 13:00 h. Après avoir déclaré des heures IRP de 8:15 à 13:00 h pour au moins un de nos élus, seules 3,75 heures de travail effectif été prises en compte : SUD réclame : 1. A quoi correspond l’écart observé. 2. Que les rectifications soient faites afin que les heures de mandat sur convocation soient bien intégralement prises en compte dans le temps de travail effectif. |
Pour répondre à cette question, nous devons avoir une copie d’écran de la journée justifiant des badgeages d’entrée et de sortie (différence entre temps de convocation et badgeage). |
65070 / 03.14 / 68 | Présentation 100% en anglais (SUD) Le 10 février s’est tenu un amphi de présentation du plateau amont entièrement en anglais. Le directeur des avants projets ne parlant qu’anglais, les interlocuteurs ont suivi le pas. Pour ceux qui ne maîtrisent pas l’anglais, dans certaines UET, la hiérarchie a même autorisé les salariés à ne pas venir. Les avants projets représentent l’avenir de la gamme, et au même titre que les projets en cours, les informations nécessaires au travail doivent être données en français. SUD dénonce cette pratique qui engendre 2 problèmes : * La législation n’est pas respectée. * Une différence de traitement entre ceux qui ont accès aux informations et l’autre constituant le plus grand nombre. SUD réclame : 1. Qu’un document de synthèse contenant toutes les informations utiles au travail, de cette présentation, soit rédigé en 2 parties distinctes. La première en français, la seconde en anglais. 2. Si elles existent, d’avoir les statistiques de niveau d’anglais des salariés (Nombre de salariés ayant passé le TOEIC, notes obtenues, moyennes etc.) |
Un rappel de la loi Toubon a été passé auprès de la DRH ingénieries qui relaye le message auprès des opérationnels. |
65070 / 03.14 / 69 | « Frenchy week-end » (SUD) Toujours en lien avec les questions précédentes, une info indique que le designstudio revisite des objets typiquement français à l’atelier Renault dans une scénographie qui rend hommage à la créativité française a été baptisé « frenchy week-end ». Outre l’incohérence entre le titre et le sujet, SUD réclame que les économies qui peuvent être réalisées sur le budget des divers fournisseurs d’éléments de langage, soient utilisés à maintenir des AGS pour les Etam. |
Il s’agit d’une revendication hors compétence de l’instance. |
65070 / 03.14 / 70 | Consignes direction non suivies (SUD) Malgré la réponse de la direction lors des instances DP précédentes sur la garantie que les documents de travail comportent à minima les informations en français, il subsiste des secteurs qui ont manifestement du mal à s’y conformer. Exemple : extraits d’un document où l’on note un mélange des langues française et anglaise qui ne favorise pas la compréhension. 2 inconvénients : c’est contre-productif et ne respecte pas la législation. SUD réclame à nouveau que la direction fasse respecter la législation sur le site du TCR et afin d’éviter le mélange des genres, que la structure des documents soit parfaitement clarifiée avec 2 parties distinctes, les infos en français puis en anglais, comme cela se pratique sur certaines infos direction ou RH. |
Un rappel de la loi Toubon a été passé auprès de la DRH ingénieries qui relaye le message auprès des opérationnels. |
65070 / 03.14 / 72 | Téléphones portables professionnels (SUD) Il semblerait que la procédure d’obtention et de gestion des téléphones portables SFR soit en train de changer. Parmi les infos qui circulent sans que nous ayons eu d’annonce officielle sur le sujet, il se dit que contrairement avec la procédure actuelle (ou ancienne, si l’on considère qu’elle a changé) 1. Le contrat avec l’opérateur serait passé directement par le salarié 2. Que le paiement des heures se ferait par prélèvement sur le compte du salarié 3. Que la direction ne rembourserait mensuellement que 11€. 4. Qu’au-delà de cette somme, le hiérarchique pourrait choisir de faire prendre par l’entreprise, les suppléments de frais. SUD réclame de savoir 1. Si la direction infirme ou confirme ces infos 2. Si cela est vrai, pourquoi les IRP n’ont pas été informées de ces changements 3. Quelles sont les raisons du transfert des frais de l’entreprise vers le salarié. 4. Pourquoi serait-ce au salarié de passer un contrat avec l’opérateur. 5. Si l’agence présente sur le site actuellement assurera toujours les dépannages et interventions administratives relatives à l’utilisation de ce téléphone « nouvelle formule » 6. Si tel n’est pas le cas, serait-ce au salarié de se débrouiller seul avec l’opérateur après sa journée de travail. 7. Si le téléphone était volé ou cassé, qui aurait en charge les frais de remplacement ou de réparation 8. Quelles seront les règles de remboursement de tous les frais occasionnés par l’utilisation de ce téléphone. 9. Quelle procédure sera à suivre pour les salariés qui n’ont pas les moyens financiers de supporter cette avance de frais professionnels. |
Seule la population DI-R est impactée, actuellement la consommation GSM & BBY de cette population était directement prise en charge par le centre de coût DI-R (contrairement au reste des collaborateurs qui devaient régler leur facture et se faire ensuite rembourser sur note de frais). Il y a donc eu un lancer de POC sur DI-R consistant à prendre en charge automatiquement un forfait pour les GSM et les BBY, le collaborateur n’ayant à faire une note de frais que dans le cas où il dépasserait ce forfait. Un « seuil de facturation », fixé à 29 euros Hors Taxe, va être appliqué sur chaque ligne Corporate. Si le salarié ne dépasse pas le seuil fixé par l’entreprise, rien ne lui sera débité sur son compte bancaire (cas le plus fréquent) mais s’il y a dépassement du seuil, il verra apparaitre sur sa facture le montant Toutes Taxes Comprises qui lui sera débité. Dans le cadre du projet de rationalisation des coûts de la flotte mobile Renault, la politique de facturation actuelle est amenée à évoluer pour tous les salariés détenteurs d’une ligne mobile d’entreprise pour : * standardiser le process et avoir un modèle de facturation unique * informer et responsabiliser les utilisateurs vis-à-vis de leurs consommations mensuelles. Il sera bien évidemment possible de se faire rembourser la partie professionnelle, sur justificatifs, via note de frais. |
65070 / 03.14 / 73 | Open forum du 13 février au TCR (SUD) Un certain nombre d’élu (e) s n’ont pas pu obtenir d’inscription pour pouvoir être présent(e)s lors de cet open forum. SUD réclame : 1. De connaître la méthode et les critères utilisés par la direction pour la sélection des volontaires qui se sont fait connaître, souhaitant être présents en salle. 2. Que lors de ce type de manifestation, un nombre prédéfini de places soient réservées aux représentants du personnel, afin que toutes les sensibilités puissent y être représentées. |
Une invitation par mail est envoyée à l’ensemble des collaborateurs des Etablissements d’Île-de-France. Le principe d’inscription est celui du « premier arrivé, premier servi ». Tenant compte du taux de désistement habituellement constaté un taux de surbooking de 30% est appliqué ce qui permet de constituer des listes d’attente. Les personnes en liste d’attente sont informées le matin de l’Open Forum de la possibilité de participer ou non. La question de la représentativité des sensibilités ne se pose pas, l’Open Forum est une séance d’échange entre les Cadres dirigeants et des collaborateurs lambda. Il existe des instances représentatives du personnel au cours desquelles les OS peuvent échanger avec la direction. |
65070 / 03.14 / 74 | Cantine des Arceaux, plat 1er tarif (SUD) Lundi 24 février, le plat 1er prix de la cantine des Arceaux ne contenait ni viande, ni poisson, il s’agissait d’un simple part de tarte à l’oignon. La première viande proposée en plat était à plus de 4€. On ne peut pas se nourrir tous les jours de jambon ou de steak haché, il n’est pas acceptable que ce qui est qualifié de plat 1er prix, s’apparente à une entrée. Dans la même semaine, le plat proposé pour le 1er tarif était constitué de 2 tranches de pain surmontées chacune de 2 rondelles de tomates. Pour compléter le bilan, aucune information, ni traçabilité sur les ingrédients pour permettre aux personnes allergiques de pouvoir constituer facilement leur menu et toujours pas d’offre bio. Le blocage des salaires accélérant la perte du pouvoir d’achat, de plus en plus de salariés ne pourront bientôt plus s’alimenter correctement dans les cantines du site. Depuis des mois, on note une dégradation des plats premiers prix. Si l’on ajoute la part employeur, cela représente entre 3,5 et 4€ pour un plat qui ne doit pas couter plus de 20% de cette somme à la fabrication. Le fait que les responsables de la cantine toucheraient une prime sur les économies réalisées, doit être rapproché du constat. SUD réclame sans attendre la prochaine réunion de la commission restauration, une intervention très rapide de la direction sur la cantine des arceaux, pour : 1. Que le premier tarif de la cantine des arceaux redevienne un plat à part entière et non une entrée déguisée. 2. Que les poissons ou viandes soient dissociées des légumes afin que chaque convive puisse constituer son menu sans se voir interdire l’accès à certains légumes au prétexte qu’ils sont réservés aux plats les plus chers. Manger du riz tous les jours parce que l’on n’a pas les moyens de se payer un plat à plus de 4€, n’est pas acceptable. 3. Qu’un message soit passé au niveau des dates limites des yaourts. On note depuis quelques temps certains exemples de limite le jour même, voir dépassée d’un jour. 4. Que la diversité dans les prix soit maintenue tout au long de la durée du service. Il est fréquent qu’à 13h alors qu’il reste ½ heure de service, plus de la moitié des desserts lactés vendus en pot aux premiers tarifs, ne soient plus disponible dans l’armoire de présentation. Reste les desserts en pots, les plus chers. 5. Qu’un audit de la propreté des couverts, des verres et des plateaux, soit réalisé. Les problèmes rencontrés l’été dernier sont encore d’actualité. 6. Qu’un rappel du montant de la part employeur soit fait en instance DP |
Nous prenons en compte les remarques qui comme vous le précisez seront ré-abordés à la prochaine commission restauration. Nous passons d’ores et déjà les informations concernant les dates de péremption des denrées à la société Elior. Des audits sur la propreté des couverts, verres et plateaux sont déjà réalisés. Pour information, composition de l’offre du lundi 24 février, plats à part entière : Tarte à l’oignon : 2.28 € Steak haché : 2.28 € Paupiette de saumon : 2.91 € Entrecôte : 3.18 € Pièce du boucher : 3.30 € Pizza au bleu : 3.79 € Sauté de porc caramel riz thaï : 4.03 € Pavé de rumsteck aux pleurotes : 5.14 € La tarte à l’oignon a été vendue dans le cadre d’un plat garni (garniture à volonté). Concernant la traçabilité, celle des viandes est affichée tous les jours. Nous ne sommes pas en mesure de détailler l’ensemble des ingrédients qui rentrent dans la composition des repas et il n’est pas possible de garantir aux convives l’absence totale d’allergène. Pour soutenir l’agriculture de nos régions, Elior a favorisé le savoir-faire des producteurs locaux. Une majorité de nos fruits et légumes proviennent de cette filière « agriculture locale et durable ». Au bar à légumes, sont proposés tous les jours 2 féculents et 2 légumes verts + les frites. Un légume ne peut être dissocié de sa protéine dans le cadre d’une recette spécifique : Exemple : nouilles sautées au bœuf, poulet curry lait de coco servi avec son riz thaï. Il est fabriqué autant de portions de protéine que de légumes pour ces plats spécifiques. Il n’a pas été constaté de problème au niveau des dates limites des yaourts lors des derniers contrôles et il va être demandé aux équipes la plus grande vigilance. Il va être demandé à la responsable du restaurant d’être plus vigilante sur le réapprovisionnement des yaourts premiers prix afin d’assurer leur disponibilité jusqu’à la fermeture. Un audit de toutes les plonges va être réalisé car il y a des problèmes de dureté d’eau. |
65070 / 03.14 / 75 | Aménagement des lieux de restauration (SUD) Les réaménagements des locaux de restauration du design sont conduits en partenariat avec des architectes d’intérieur. Cela ne résout pas l’ensemble des problèmes liés à l’environnement mais permet aux salariés concernés de bénéficier d’un cadre de travail comparativement aux autres salariés, plus agréable. SUD réclame que l’entreprise déploie rapidement le même effort sur la totalité des réfectoires répartis dans l’ensemble des bâtiments, qui sont des lieux particulièrement sinistres et pour certains, sans aucun effort de réaménagement réel consenti par la direction depuis leur création. |
Des actions de réfection et d’amélioration des réfectoires sont planifiées pour 2014. Pour information, tous les ans, un budget est alloué à l’entretien et à l’achat de matériel pour les réfectoires. Un audit de l’ensemble des réfectoires vient d’être réalisé et suite au groupe de travail constitué des Secrétaires des CHSCT et du pilote du sce Conditions de Travail des aménagements ont été réalisés. |
65070 / 03.14 / 77 | Délai CR DP (SUD) Les comptes-rendus DP sont souvent envoyés après la limite légale (6 jours). La direction a coutume de répondre qui lui faut attendre le retour des spécialistes sollicités, ou bien d’écrire que le sujet est en cours de documentation. Pourtant, au mois de décembre 2013, le CR a été envoyé 2 jours après l’instance. Les questions de ce mois-là n’étaient pas de nature différente à celle des autres périodes de l’année. Beaucoup de salariés attendent les réponses aux questions remontées par les représentants du personnel de cette instance. SUD réclame de savoir pourquoi le respect du délai de parution du CR de décembre n’a pas été suivi depuis le début de l’année 2014. |
Le mois décembre est une exception (fermeture de site pour congés le lendemain de la tenue de l’instance). L’utilisation d’un délai entre la date de la réunion et la date de diffusion du compte rendu permet d’apporter des réponses complémentaires à certaines questions. Cela est d’autant plus vrai compte tenu du nombre très important et de la diversité des questions posées. |
65070 / 03.14 / 78 | Prêt de Master aux salariés (SUD) Il y a quelques années il était possible aux salariés d’avoir un prêt de Master lors d’un déménagement. SUD réclame un rappel de la procédure à suivre pour les salariés qui ont besoin de ces prêts. |
Ces prêts n’existent plus. |
65070 / 03.14 / 79 | Implantation et déménagement (SUD) Dans un secteur des avants projets, sur le plateau amont 2B-4B, une UET est enfermée dans une pièce. Le problème acoustique déjà présent sur plateau ouvert, n’est que plus important dans cet espace restreint. De plus, cette pièce n’a qu’une porte d’accès ce qui en fait, non plus un bureau, mais une salle. Se pose ainsi la question de sécurité en cas de départ de feu, car le photocopieur (risque de départ de feu) se trouve justement à l’unique entrée. Une pièce n’ayant qu’une entrée doit tenir compte du nombre de personnes maximum autorisées. Etant donné les allers et venus sur ce lieu (réunion a plusieurs derrière les stations de travails, visites de salariés étrangers à l’UET) le nombre de personnes est très fluctuant. SUD réclame un rappel d’infos, concernant : 1. Les règles d’implantations officielles 2. Les règles définissant les nombres d’occupants selon la surface des salles de réunions. |
Ce problème a été clairement identifié suite à la réimplantation mais n’est pas directement lié à la réimplantation. Le problème de fond est que les personnes de cette UET travaillent sur station ACE 1 3D sur des maquettes numériques et que les outils informatiques utilisés ne permettent pas aujourd’hui de s’isoler dans une salle de réunion pour travailler sur la maquette lors d’un travail collaboratif. Constat : * L’implantation est conforme à ce qui a été présenté en CHSCT. * L’implantation respecte le standard d’implantation * L’implantation a été validée par les responsables sécurité. * Dans le standard d’implantation, il est précisé de ne pas faire de réunion à son poste de travail en « open-space » pour ne pas gêner ses collègues * Si nous les réimplantons ailleurs, ce problème de gêne vis-à-vis des autres résidents reste entier. * Ce choix d’implantation a été proposé par le métier lors de la phase de microzoning. Plan d’actions : * Etude en cours pour améliorer le confort acoustique de cette zone, mais le coût semble prohibitif par rapport au gain potentiel. * Nous avons la possibilité d’augmenter légèrement le capacitaire d’un des 4 modules sans changer le capacitaire global du plateau amont. Ceci doit permettre de revoir l’aménagement et réimplanter cette équipe sans résoudre tous les problèmes. * Un travail sur la méthodologie d’utilisation des outils IAO est en cours avec l’assistance IAO :
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65070 / 03.14 / 81 | Accès atelier avec chariot élévateur (SUD) La porte d’accès à l’atelier MQP11 (entrée à côté de la salle Kubrick) a été endommagée. Depuis ce jour, un membre de la sécurité est posté devant cette entrée pour en garantir l’accès confidentiel et réservé. Il semblerait qu’un changement complet de la porte soit envisagé SUD réclame de savoir : 1. La date à laquelle la fin des travaux est prévue 2. Pourquoi une alternative de type réparation momentanée n’a pas été envisagée en attendant le changement définitif de porte. |
Les travaux sont gérés par la maintenance, le service APS n’a pas de visibilité quant au délai de réparation. Cette solution alternative est à la demande du responsable du secteur. En effet, des déménagements entre HSC11 et MQP11 sont en cours et il souhaite que la porte reste ouverte. |
65070 / 03.14 / 82 | Télétravail (SUD) Lors de l’implantation de certaines UET, l’implantation n’a pas pris en compte le métier de chacun. Ainsi, une UET à l’avancée s’est vu proposée la création d’une salle dédiée à cette UET, afin d’y installer les points stations CAO. La proposition serait de venir avec un PC portable dans cette salle, afin de se connecter, via un compte virtuel, sur la machine fixe, présente sur le plateau bruyant L’informatique propose donc de pouvoir se connecter à distance sur un poste de travail en CAO. Il y a donc une possibilité d’ouvrir le droit au télétravail à l’ensemble des concepteurs. Cette population s’étant toujours entendu répondre « il n’est pas possible de gérer les données numériques à distance » SUD réclame que soit officialisée à l’ensemble des concepteurs, la possibilité d’accéder au télétravail. |
La solution proposée dans le cas évoqué consiste à se connecter sur des points réseaux chez RENAULT. Cela ne peut pas s’appliquer à une connexion à domicile, la quantité de données numériques à transmettre ne pouvant être gérée à distance. |