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17/04/16 - Réunion DP du Technocentre du 5 avril 2016
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19/02/16 - Réunion DP TCR du 9 février 2016
26/01/16 - Réunion DP TCR du 14 janvier 2016
Avril 2014
Publié le 25 avril 2014 à 11h41 - Mis à jour le 11 avril 2014 à 12h28
N° de question | QUESTIONS S.U.D. | REPONSES DE LA DIRECTION |
65070 / 04.14 / 8 | Conservation de la date de pose des jours de congés dans Worflow (SUD)
Lors de l’instance de février, nous réclamions que la date de pose des jours de congés soit conservée dans le worflow et non remplacée par date de validation du N+1. Dans son compte-rendu, la direction a indiqué que cette réclamation avait été transmise à l’ingénierie paie pour étude de faisabilité. SUD réclame de savoir à quelle date la conservation de la date de dépôt des jours sera effective dans le logiciel de gestion des congés. |
Cela nécessite un développement informatique non prévu et non envisagé. |
65070 / 04.14 / 11 | Temps partiel et jour de RTTC tombant sur un jour non travaillé (SUD)
Comme chaque année des jours de RTT collectifs tombent pour certains salariés sur un jour non travaillé. Il n’est donc pas possible de décompter cette journée et le temps doit donc être restitué. SUD réclame que : 1. La direction confirme cette disposition 2. Que le temps de ces journées soit bien versé au CTI |
Il n’est pas possible de déplacer un jour non travaillé afin de récupérer le bénéfice d’un jour férié. |
65070 / 04.14 / 12 | Décalage Temps partiel (SUD)
SUD réclame d’avoir confirmation de la part de la direction que dans le cas d’un accord entre salarié et N+1, un échange de courriels suffit pour décaler exceptionnellement une journée de temps partiel. |
Un écrit est nécessaire pour formaliser cette modification exceptionnelle. Néanmoins, managers et salariés doivent saisir dans la mesure du possible par anticipation tout changement du cycle présentiel pour enregistrer la modification dans le portail. |
65070 / 04.14 / 13 | Dotation journalière CTI et CTC (SUD)
Lors des instances DP de décembre 2013, de janvier et de février 2014, nous avons abordé le problème des fluctuations incompréhensibles de la valeur journalière utilisée pour déterminer la dotation mensuelle des compteurs CTI et CTC. Dans sa dernière réponse, la direction indique que pour respecter l’accord du 13 mars 2013, elle avait par rapport à l’accord RTT de 1999, diminué la valeur journalière permettant d’établir en fonction des jours travaillés, les dotations mensuelles. Nous contestons le principe retenu, nous affirmons qu’au contraire, la suppression du CEF augmente la valeur journalière qui devrait être prise en compte pour satisfaire l’accord RTT de 1999. Les différents comptes-rendus ne donnent toujours pas les explications quant aux fluctuations relevées. SUD réclame à nouveau : 1. Des explications sur les fluctuations de la valeur journalière observées sur les bulletins de salaires pour le deuxième semestre 2013 : * aout, valeur journalière 0,1625 * septembre 0,1636 * octobre 0,1625 * novembre 0,1642 2. Que la valeur journalière intègre la suppression du CEF en passant à 0,175 et non en diminuant de 0,17 à 0,164, et ce en application de l’accord 1999. Depuis le 1er juillet 2013 nous travaillons 7,35 centièmes d’heures soit 7h et 21 minutes, réparties en 7 h de travail et 0,35 centièmes pour les compteurs RTT. Chaque compteur CTI et CTC devrait donc pour chaque jour travaillé s’incrémenter de 0,175 h et non 0,164. L’écart entre les 0,175 et 0,164 h journalières représente 4,62h par an, soit les ¾ d’une journée de congés. 3. Que les temps journaliers manquants depuis le 1 juillet 2013 soient restitués rétroactivement à tous les salariés concernés. |
La réponse à cette question vous a déjà été transmise. |
65070 / 04.14 / 16 | Accès aux infos déroulement de carrière et filières (SUD)
Un certain nombre de salariés ignorent leur numéro de filière et ont les plus grandes difficultés à se le faire communiquer. Dans le volet carrière sous BPU, les dates où les promotions ont été obtenues comportent bien des changements d’appellation, mais le numéro de coefficient n’est pas indiqué et les dates d’augmentation n’y figurent pas. S’agissant de données personnelles propres au déroulement de carrière, il n’est pas logique que le salarié n’y ait pas accès. Il n’y a pas de barrière technique puisque ces infos sont déjà mises à disposition sur le bureau du manager. SUD réclame que les droits informatiques d’accès à ces infos soient étendus aux intéressés et donc récupérable sous BPU, comme cela est déjà le cas par exemple pour les historiques de formation. |
Le nom de la classification est indiqué sur le bulletin de salaire. Le nom de la filière est indiquée dans Déclic sous « mes services, espace RH, gestion administrative, mes données personnelles, carrière ». |
65070 / 04.14 / 21 | Bordereau de déclaration des heures de mandat (SUD)
Nous avons constaté qu’il existait plusieurs versions S2N différentes du bordereau de déclaration des heures de mandats portant la même référence 00 835 02 14 C 2101 pour un n° CNIL 790795. Le dernier format envoyé par la direction en réponse à une de nos questions DP ne comporte pas dans sa partie haute indicative, de colonne donnant les codes BPU pour les convocations en regard des différents mandats. Ce qui pour la bonne documentation par les mandatés est problématique. SUD réclame : 1. De savoir comment il est possible d’avoir des contenus différents pour une même référence CNIL de document. 2. Que les versions non conformes soient retirées de la circulation 3. Qu’au compte rendu de cette instance soit jointe la seule version officielle correspondant à cette référence et contenant bien la totalité des encarts où figurent les codes mandats et convocations. |
Vous trouverez en annexe le document officiel, tel qu’on le trouve dans l’AER. Tout autre formulaire ne peut provenir que d’une version antérieure stockée dans un répertoire privé.
Il n’est pas prévu d’adresser des supports pré-documentés et individualisés aux élus. |
65070 / 04.14 / 22 | Compteur HV et heures IRP (SUD)
Il subsiste des contradictions informatiques au sein du logiciel compteur HV. Nous avons observé que pour un élu qui avait déclaré 2 heures IRP entre 11 et 13h, une heure avait été décomptée du temps de travail. Nous n’ignorons pas le respect de la législation sur les temps de repos, mais pour les heures IRP, le lien de subordination étant rompu, la ligne hiérarchique ne peut donc être inquiétée. La législation indiquant également que les heures IRP sont considérées comme des heures de travail, le logiciel de gestion ne peut donc aller à l’encontre de cela, et l’utilisation des mandats est de la responsabilité de ceux à qui ils sont confiés. Pour exemple, la gestion par ce même logiciel des entrées sur le site est cohérente dans la mesure où si le système envoie un message d’alerte signalant une entrée avant l’heure d’ouverture, il n’interdit pas le passage aux tourniquets pour les mandatés. SUD réclame une modification du logiciel afin que la qualification d’heure IRP neutralise les consignes liées au repas ou à la pause. |
Il a été possible au salarié mandaté de déjeuner de 13h à 14h.
Dans le portail HV, il est toujours possible de saisir un repas non pris après validation du manager, celui-ci étant nécessairement informé préalablement de la prise d’heure de délégation. |
65070 / 04.14 / 23 | Accès aux données personnelles (SUD)
A mois de février, par la question 65070/02.14/66 nous réclamions que les salariés aient accès au même titre que leur N+1, à toutes les informations journalières concernant les badgeages intermédiaires compris entre la première entrée et la dernière sortie du site. La direction dans son compte-rendu a répondu que le sujet était en cours de documentation. SUD réclame de connaître la date où les informations demandées seront bien à disposition de tous les salariés. |
Les collaborateurs et les managers n’ont de vision que sur le premier et le dernier badgeage. L’outil ne retenant que ces deux données depuis début 2014. |
65070 / 04.14 / 40 | Heures de nuit, prime forfaitaire (SUD)
Dans la réponse de la direction les mois précédents, il est indiqué que pour l’établissement de Guyancourt, une prime forfaitaire de 83,54 € se substitue à la prime panier de nuit + prime partielle ou globale de nuit ainsi qu’à l’éventuel dépassement de l’horaire hebdomadaire de travail. SUD réclame de savoir : 1) De quel texte (convention, accord ou note interne) est issu le montant de 83,54€ 2) Si ce montant est uniforme quel que soit le coefficient du salarié. |
Nous confirmons les réponses 65070/02.14/21 du mois de février et 65070/03.14/37 du mois de mars. Il s’agit d’une prime forfaitaire non liée au coefficient qui est pratiquée au sein de l’établissement. |
65070 / 04.14 / 42 | Rapprochement des ingénieries Renault/ Nissan – Anglais (SUD)
L’Anglais fait un pas de plus dans l’entreprise avec le rapprochement des ingénieries. Beaucoup de salariés ont le sentiment d’être rejetés par cette organisation mise en place où certains directeurs ne parlent qu’anglais avec des informations redescendues uniquement en anglais. Le mois dernier la direction n’a pas répondu clairement quant au niveau d’anglais nécessaire. Il est grand temps de faire un état des lieux du niveau d’anglais des salariés : TOEIC, note maxi, mini et moyenne. Il ne faut pas arriver à une situation de blocage engendrée par le niveau de compétences en langues sans qu’aucune formation de qualité n’ait été déployée. SUD réclame : 1. Que la loi Toubon soit respectée et que tous les documents de travail comportent bien également les infos en français. 2. D’avoir un bilan chiffré du niveau global du TOEIC des salariés l’ayant passé, 3. Qu’aucun blocage ne se fasse lors des demandes de formation en Anglais. |
Conformément à la réponse 605070/03.14/68, du mois de mars, nous vous confirmons qu’un rappel de la loi Toubon a été passé auprès de la DRH ingénieries qui relaie le message auprès des opérationnels.
Conformément à la politique formation de l’entreprise, les formations en anglais sont réservées aux collaborateurs qui ont besoin de maitriser cette langue dans le cadre professionnel. |
65070 / 04.14 / 43 | CEF et DA (SUD)
Un salarié parti en DA sans choix de monétisation avait utilisé ses jours de congés avant son départ printemps 2013. Depuis, en juillet 2013, les jours CEF ont été restitués sous forme de congés et ne lui seraient payés qu’à la fin de la période de DA. Or au moment de la signature de l’avenant au contrat de travail, le salarié ignorait que ces jours seraient disponibles. SUD réclame que ces jours restitués puissent être utilisés pour la monétisation d’une période de DA correspondant à leur nombre, pour des salariés ayant entamé la période de DA. |
S’agissant d’un dossier individuel, il faut nous remonter le cas précis et l’identité de la personne afin que nous puissions répondre. |
65070 / 04.14 / 50 | Mise en danger (SUD)
Mercredi 12 mars vers 11h45, 2 véhicules du projet X07 tournaient en rond pour des essais de braquage sur l’esplanade devant chez Paul, en face de portes vitrées et à quelques mètres des personnes qui à cette heure-là se rendent dans les cantines ou se dirigent vers le CE rocade. Des agents de sécurité essayaient autant qu’ils le pouvaient, de canaliser les piétons nombreux à cette tranche horaire de déjeuner. Aucun balisage ni périmètre de sécurité n’avait été mis en place et le risque était grand qu’un piéton ne se fasse accrocher par un véhicule. L’objectif étant de filmer la scène, il est manifeste que la sécurité n’a pas pu mettre en place la procédure nécessaire en pareil cas. SUD réclame de savoir : 1. Quelle est la fonction hiérarchique ou le secteur qui a imposé à la sécurité de laisser faire le tournage au mépris des règles de sécurité. 2. Si un plan de prévention avait été établi 3. Pourquoi le tournage ne s’est-il pas effectué sur l’aire d’évolution du CTA conçue pour ce type d’essais |
Les règles de sécurité ont été respectées. Les agents de sécurité étaient présents pour délimiter l’espace de sécurité pour que le véhicule circule sans risque de collision avec les piétons.
Le plan de prévention n’est pas obligatoire pour ce type d’évènement. Pour autant, toutes les mesures ont été prises pour identifier les risques et mettre en place les mesures de prévention et de protection nécessaires. Les véhicules étaient disponibles sur le TCR et les manœuvres étaient limitées ne nécessitant pas par conséquent que ce tournage soit réalisé sur le CTA. |
65070 / 04.14 / 51 | Plan éco sur les dévidoirs (SUD)
Depuis plusieurs mois, il devient compliqué de pouvoir dans des blocs sanitaires, obtenir du tissu propre et sec pour pouvoir s’essuyer les mains. Des dévidoirs présentent un temps d’attente conséquent entre 2 sollicitations, ou la longueur de tissu allouée est trop faible et des contorsions sont nécessaires pour ne repartir avec les mains humides. Certains dévidoirs présentent les 2 défauts. Nous considérons que les défauts relevés ne sont pas les conséquences de dysfonctionnements mais plutôt celles d’un plan d’économie. Le droit à l’hygiène faisant partie des mesures de prévention les plus élémentaires pour diminuer les risques de contamination, SUD réclame que pour tous les blocs sanitaires du site : 1. La longueur de tissu allouée par le cylindre des dévidoirs soit assurée pour au moins 20 cm 2. Que les dévidoirs présentant des temps d’attente entre 2 sollicitations soient remplacés par des matériels n’ayant pas ce défaut. |
Nous transmettons la question au service concerné. |
65070 / 04.14 / 52 | Salariés nomades (SUD)
Sur des plateaux vides dans l’avancée, il n’est pas rare de croiser des salariés installés seuls au milieu de mobiliers empilés. Dans plusieurs cas, il s’avère qu’il s’agit de prestataires, dont l’accès badge antérieure n’a pas été réactualisé, ce qui les oblige à faire de longs détours entre l’accueil et leur lieu officiel de travail (pour ceux qui en ont un) SUD réclame : 1. De connaitre le nombre de prestataires sur le site déclarés en visiteurs depuis plusieurs semaines. 2. Une intervention sur les plateaux non encore aménagés, afin que la sécurité soit garantie pour tous les salariés 3. Que de places soient dédiées en attendant septembre, aux salariés d’autres sites venant travailler régulièrement au TCR. |
L’établissement a rappelé le 3 février 2014, les règles d’implantation des salariés des sociétés de prestation sur site Renault, à chaque direction, chacune devant faire un état des lieux des postes occupés et un rappel des règles. A cette occasion, une plaquette est distribuée aux responsables des sociétés de prestation.
Il faut nous remonter des faits concrets. |
65070 / 04.14 / 53 | Lecteurs badge, sifflement haute fréquence audible (SUD)
La problématique des lecteurs de badges en mode défaut aux portes est récurrente. Le signal haute fréquence émis lorsqu’il se maintient plus de quelques minutes devient un risque pour la santé des salariés des alentours (acouphènes, stress, etc.) Ce problème lie la sécurité, la confidentialité et les nuisances aux personnes. Dans la plupart des cas l’intervention par le service sécurité met plusieurs jours. SUD réclame : 1. De connaitre le nombre de lecteurs en activité sur le site 2. De connaitre les nombres d’interventions de dépannages réalisées sur 2013 3. La suppression ou la neutralisation de la fonction sifflement sur les lecteurs de badges. L’information de la mise en défaut par un voyant lumineux suffit. Cela d’autant que les personnes qui subissent le sifflement ne peuvent intervenir pour corriger le défaut et que ceux qui sont habilités à le faire, ne l’entendent pas. |
Le mode sifflement doit être retiré en 2014 sur les 900 accès contrôlés. |
65070 / 04.14 / 54 | Travaux infirmerie, odeur de résine et de colle (SUD)
Le 04 mars, une odeur persistante de résine et de colle a envahi les étages de l’avancée connecteur 4. Il s’agissait de travaux à l’infirmerie. Un appel de notre syndicat a été fait au responsable des travaux. SUD réclame : 1. De savoir pourquoi ces travaux ont été réalisés sans aération adéquate 2. Ce que compte faire la direction pour ne pas renouveler ce type de problème 3. Si les fiches de toxicologie des produits utilisés faisaient bien partie du plan de prévention |
Les travaux ne nécessitaient pas d’aération particulière. Ces travaux ont été gérés par des professionnels de la sécurité et chaque étape des travaux a fait l’objet d’une analyse de risque et d’une attention particulière.
La Direction va traiter avec la même rigueur les futurs chantiers. Tout produit utilisé sur les chantiers sont connus et font l’objet du même contrôle que tout produit utilisé par les collaborateurs Renault. |
65070 / 04.14 / 55 | Implantation logistique : absence de concertation (SUD)
Une dizaine de salariés du secteur LOG 003 service 66424 ont appris au travers d’un courriel que leur implantation bureau allait changer. Visiblement le CUET destinataire du courriel n’était pas au courant et personne dans son équipe n’a été consulté pour avis ou expression des besoins. La conséquence, c’est qu’il n’a pas été tenu compte des spécificités de leurs activités de maintenance des bancs et moyens d’essais qui nécessitent dans la zone d’archivage des plans, une table de lecture existant aujourd’hui. Dans le projet d’implantation, la table a disparu pour permettre d’ajouter 2 postes bureaux. Si le projet restait en l’état, les salariés Renault qui sont amenés à négocier des contrats se retrouveraient au milieu de prestataires en concurrence et sans endroit pour pouvoir déplier et lire les plans nécessaires à la maintenance et ne pourraient plus recevoir de fournisseurs à leur bureaux. Les documents préparatoires envoyés pour le réunion du CHSCT n°5 où le projet de nouvelle implantation de ce secteur sera abordé le 8 avril pour un début des travaux le 9, montrent que : 1. Les plans de la situation actuelle ne figurent pas. 2. Le noms des salariés du service 66424 ne font pas partie de la liste des personnes impactées par le projet 3. Le devenir des salles de maintenance informatique, maintenance électrique et réception du matériel pour la procédure ISO9001 n’est pas indiqué. SUD réclame : 1. Que la partie du projet impactant le service 66424 soit gelé 2. Qu’une véritable concertation ait lieu sur le terrain 3. Que de l’espace soit restitué dans les modifications du projet pour maintenir la table de lecture auprès des armoires d’archivage. 4. Qu’une cloison soit installée entre les salariés Renault et les prestataires. 5. Que la direction modifie le processus afin que la communication préalable soit rétablie avec les utilisateurs pour éviter que d’autres secteurs ne se trouvent confrontés aux mêmes erreurs. |
Cette question n’est pas de la compétence de l’instance DP mais du CHSCT. |
65070 / 04.14 / 56 | Sécurité des piétons (SUD)
Lorsque des utilisateurs des lignes de bus dont l’arrêt se situe à la petite gare routière près du Design ont besoin de passer par l’accueil (et cela arrive régulièrement), le parcours à effectuer à pied comporte une zone de danger et le trajet représente plus d’un ¼ d’heure. Pour aller à l’accueil, les piétons doivent emprunter la voie où circulent les bus avant de rejoindre le trottoir du rond-point de l’avenue de l’Europe et faire le grand tour. Afin de mettre en sécurité les piétons et de diminuer le trajet réalisé deux fois par jour pour les salariés enregistrés comme « visiteurs » ou ayant oublié leur badge, SUD réclame qu’une solution soit trouvée et propose d’appliquer le même principe que ce qui a été mis en place à la gare routière principale. 1) La création d’une zone piétons dédiée en marge de l’aire de circulation des bus de manière à pourvoir s’approcher de la clôture de sécurité 2) La création d’un chemin piétons stabilisé longeant la clôture de sécurité, contournant le bâtiment du Design pour déboucher devant l’avancée et pouvoir accéder à l’accueil. |
Cette question n’est pas de la compétence de l’instance DP mais du CHSCT. |
65070 / 04.14 / 59 | Transfert d’heures capitalisées (SUD)
SUD réclame qu’un salarié non cadre puisse transférer à un autre salarié ou à une caisse de solidarité interne à l’établissement, d’heures acquises sur son compteur d’horaire variables. |
Cela n’est pas prévu. |
65070 / 04.14 / 60 | Heures de nuit et compteur HV (SUD)
Le respect des 11 heures d’interruption entre 2 séances de travail impose pour les salariés qui vont effectuer ou qui ont effectué un travail de nuit, de devoir quitter ou de revenir sur le site du TCR dans la plage fixe. Cela entraîne un déficit sur le solde des compteurs HV. Les salariés se retrouvent donc obligés de compenser par des congés ou une retenue sur salaire, le temps travaillé la nuit. SUD réclame qu’une modification du logiciel de gestion permette à chaque salarié de pouvoir régulariser directement cette anomalie. |
Afin de compenser l’arrivée du salarié sur la plage fixe, le salarié doit saisir dans le portail une interruption de travail. |
65070 / 04.14 / 64 | Interdite de cantine, de mieux en mieux (SUD)
A la cantine des Cascades, une salariée n’a pu approvisionner son compte car la borne était en panne (25/03/14). Elle s’est vue refuser l’accès à la nourriture car son compte était débiteur (limite des moins 5 euros atteint). Cette attitude d’Elior est scandaleuse, la salariée n’était en rien responsable du dysfonctionnement de la borne. Ceci n’est qu’un nouvel exemple de la manière dont les responsables d’Elior considèrent les convives du site. S’agissant de clients captifs, Elior se considère en position de force et agit comme tel, encouragée en cela par l’absence de réaction de la direction. Nous avons alerté plusieurs fois sur la nécessité de recadrer rapidement les gestionnaires des cantines. Les dérives observées sur le terrain de la part des responsables ne sont pas acceptables, Que ce soit sur les prix premiers plats, pour la plupart du temps une simple entrée déguisée, sur les consignes passées pour réduire les parts, sur les échanges à la limite de la correction lorsque des clients se plaignent. A l’extérieur du site, lorsque la concurrence est présente, les sites Elior présentent un autre visage et d’autres attitudes. Les animations folkloriques dont se moque éperdument la plus grande majorité des convives, ne masquent en rien, un comportement de marchand de soupe. Les réunions de la commission restauration ne règlent aucun de ces problèmes et nous connaissons par avance le résultat des enquêtes de satisfaction en complète contradiction avec le terrain. Il est parfaitement indigne, que la salariée se soit vue refuser le droit de se nourrir. Laisser cette situation perdurer c’est prendre le risque d’assister à des incidents. Il est urgent de s’atteler enfin aux problèmes de restauration du site. SUD réclame : 1. une intervention de la direction afin d’imposer ce que l’absence de bon sens et le manque de considération d’Elior na pas permis : Ne pas tenir compte de la limite de 5€ de découvert lorsqu’un convive ne peut créditer son compte. 2. Que la direction respecte les orientations annoncées lors de l’ouverture du TCR : avoir plusieurs sociétés de restauration sur le site. Il est certain que l’attitude des responsables d’Elior se normaliserait très rapidement et les convives constateraient des améliorations sur le ratio prix/quantité-qualité |
Il est toujours possible, dans un cas aussi exceptionnel :
• Soit de payer en liquide, • Soit de se rendre l’un des 6 autres restaurants d’entreprise, • Soit de se rendre chez Paul Le message a néanmoins été transmis au service compétent. |
65070 / 04.14 / 68 | Délai remboursement acompte vente véhicule au personnel (SUD)
Il ne s’écoule pas plus de 10 jours pour que l’acompte établi lors d’une commande de véhicule soit transféré sur le compte de Renault. Par contre, si suite à un changement de commande, il y a lieu de rembourser un acompte, le bénéficiaire doit attendre plus de 20 jours pour que son compte soit crédité. SUD réclame que la procédure de remboursement soit modifiée afin de raccourcir le délai de restitution à une attente identique à celle du prélèvement. |
Cette situation est liée à l’annulation d’une commande client et il arrive que le report de l’acompte ne soit pas pris en compte dans l’outil informatique. A ce jour, l’administration des Ventes a mis en place un process afin d’éviter l’encaissement d’un acompte en doublon. |
65070 / 04.14 / 69 | Contrat SFR pour les téléphones professionnels (SUD)
SUD réclame de savoir ce que deviennent les contrats des téléphones suite à la vente de l’opérateur SFR |
Les contrats seraient transférés au repreneur. Ce n’est qu’une hypothèse puisque la vente d’SFR n’est pas effective à ce jour, à notre connaissance. |
65070 / 04.14 / 70 | Suite de la question 65070 /02.14/89 abri vélos (1) (SUD)
Sachant qu’à la question de SUD réclamant que les antivols ne servant pas à protéger des vélos et qui empêchent par leur encombrement l’accès à ces parking la réponse écrite a été « le service APS n’est pas habilité à couper les antivols des vélos ». Merci de confirmer cela ou de reformuler votre réponse. SUD réclame de savoir pourquoi la direction est capable de mettre des sabots aux voitures mais n’est pas capable d’enlever des antivols oubliés ? |
La différence avec la pose d’un sabot est que le retrait d’antivols implique la destruction des antivols appartenant au propriétaire du vélo, contrairement au sabot qui ne détériore pas le véhicule du salarié.
A ce jour, aucun retrait de tels antivols n’a été réalisé. Le service APS n’exclut pas d’envisager un process d’alerte sur les antivols « ventouses ». |
65070 / 04.14 / 71 | Suite de la question 65070 /02.14/89 abri vélos (2) (SUD)
Du fait de la saturation et du manque d’emplacement utilisables sur les parkings à vélos, de nombreux salariés sont contraints de garer leur vélo dans des lieux non abrités. Cela dégrade très fortement les vélos, et augmente le risque d’accidents du à l’oxydation consécutive aux aléas climatiques de pièces maitresses. SUD réclame de la direction les mesures indispensables de protection des 2 roues pour éviter une augmentation du risque d’accident consécutif à une dégradation mécanique des vélos résultante d’une responsabilité de refus dans les faits reconduit d’année en année de prendre en compte les demandes des utilisateurs des 2 roues. SUD réclame d’avoir le planning de réalisation pour les extensions des parkings à vélos. |
En 2013, les abris vélos et motos ont été agrandis, offrant ainsi une capacité excédentaire aux besoins réels permettant l’accueil de nouveaux 2 roues. |
65070 / 04.14 / 72 | Garanties sur VH (SUD)
Les prestations après-vente ne sont pas les mêmes selon que l’on achète une Renault ou une Dacia. L’argument selon lequel les prix de vente sont également très différents n’est pas utilisable dans le cadre de l’immobilisation du véhicule sous garantie pour défaut constructeur. Le propriétaire de la Renault se verra proposé gratuitement un véhicule de « courtoisie », tandis que celui de la Dacia devra le louer à ses frais. Or à aucun moment, le client n’est averti lors de la commande. Des salariés du site clients d’une Dacia ont fait cette désagréable découverte, SUD réclame : 1. Que lorsque la responsabilité du constructeur est engagée, les clients Dacia bénéficient également du prêt gratuit d’un véhicule de remplacement 2. Que les potentiels clients Dacia soient alertés lors de la commande, des restrictions de prestations garanties comparativement à une Renault, de sorte qu’ils puissent choisir en connaissance de cause. |
Cette revendication ne relève pas de l’instance DP. |
65070 / 04.14 / 73 | Gestion des données à la médiathèque (SUD)
Un salarié souhaitant emprunter un DVD à la médiathèque a découvert que, sur son compte, avait déjà été emprunté des DVD sans qu’il le sache. La réponse qu’on lui a donné est « oui, il arrive parfois ce genre de problème ». C’est seulement après insistance que le salarié a pu emprunter le DVD de son choix. Ce constat fait encore une fois ressortir la problématique de la gestion des données via le badge main libre. SUD réclame que des mesures soient prises pour empêcher ce dysfonctionnement et de revenir à une gestion plus humaine pour les utilisateurs de la médiathèque ainsi que pour ses salariés. |
Cette question n’est pas de la compétence de l’instance DP mais de l’organisation des œuvres sociales du CE (se rapprocher des élus CE). |
65070 / 04.14 / 75 | Rapprochement des ingénieries Renault/ Nissan – doubles contrats (SUD)
Suite aux informations données concernant la mise en place d’une nouvelle organisation à partir du 1er avril et qu’environ 100 managers seront sous double contrat Renault et Nissan, SUD réclame, de connaître : 1. Les intitulés de poste et position hiérarchique des managers qui seront concernés par cette disposition 2. Le détail des grandes directions, directions opérationnelles et services impactés dans leur ligne managériale, par cette nouveauté. |
Cette question ne relève pas de l’instance DP. Les communications sont effectuées en temps utile auprès des intéressés. |
65070 / 04.14 / 76 | Rapprochement des ingénieries Renault/ Nissan - budgets investissements (SUD)
Suite aux informations données concernant la mise en place d’une nouvelle organisation à partir du 1er avril, SUD réclame d’avoir confirmation que les budgets de fonctionnements Renault établissement, pour la modernisation ou la création de moyens d’essais serviront bien exclusivement à financer des moyens Renault de l’établissement, utilisés par des salariés Renault. |
A ce stade, la mise en place d’une nouvelle organisation ne va pas changer l’utilisation du budget qui va servir aux financements des moyens Renault. |