N° de question |
QUESTION S.U.D. |
REPONSES DE LA DIRECTION |
65070/03.12/21 |
SUD : Pouvoir
d’achat ou ce qu’il en reste : Les dernières propositions de la
direction dans le cadre des NAO sont telles que dans le meilleur des cas
c'est-à-dire pour les salariés qui bénéficieront d’une promotion ou d’un
« événement » courant 2012, la totalité des augmentations ne
couvriront l’augmentation du coût de la vie en 2011. Pour les autres,
c'est-à-dire le plus grand nombre, la perte de pouvoir d’achat est encore
plus grande. SUD réclame toujours 300 € de plus sur les salaires de bases et un 13 ème mois en remplacement des primes qui ne sont pas soumises aux cotisations de sécurité sociale. |
Les
négociations salariales ne relèvent pas de l’instance des DP. |
65070/03.12/22 |
Plan de promotion des
cadres : La direction avertit que le plan de
promotion des cadres s’appliquera au 1er juillet 2012, ce qui
décale les évènements de 3 mois par rapport à 2011. Dans ces conditions, SUD réclame que les objectifs du personnel cadre soient coordonnés avec l’annonce faite par la direction, soit aucun entretien avant la fin du premier semestre. |
Les objectifs des cadres sont définis, comme chaque année, avant la fin du mois de février. |
65070/03.12/23 |
Chauffage RDC RUCHE: Dans le couloir où se situent les comptoirs du
photographe et du nettoyage de vêtements, il n’y a pas de chauffage. Ce
couloir entre 11h et 14 h étant très fréquemment emprunté par des salariés se
rendant à la cantine de rotondes ou la médiathèque, les portes battantes sont
rarement fermées et le courant d’air produit n’arrange pas les conditions
climatiques. SUD réclame que des chauffages d’appoints soient mis à disposition afin de permettre aux personnes assurant les prestations pour la photographie et le pressing, une température minimale. |
Comme vous le faites
remarquer à juste titre, cette zone est un couloir et à première vue ce n’est
pas facile d’installer un chauffage. Nous allons vérifier dans un premier temps la présence ou non de bouches de ventilation. |
65070/03.12/24 |
Chronométrage
des hôtesses d’accueil : Mardi 14 février, une personne
abritée derrière des plantes de l’avancée chronométrait les opérations
d’accueil des visiteurs. SUD réclame : 1. De connaître le statut, la
société, de la personne qui effectuait ce chronométrage. 2. Les raisons pour lesquelles
cette personne se cachait 3. De savoir si les hôtesses
d’accueil étaient averties qu’une opération de minutage aurait lieu 4. De connaître l’objectif de ces mesures. |
Il s'agit du pilote Vestalia pour une prestation de Pénélope. |
65070/03.12/25 |
Liens de
subordination au sein de Vestalia: Suite à des déclarations d’accidents
du travail impliquant salariés Renault et Vestalia , une analyse a été
déclenchée au sein d’un CHSCT. Au cours des réunions de travail de ce groupe
d’analyse, il est apparu des appréciations contradictoires quant aux
responsabilités légales propres au management d’un manager Vestalia vis-à-vis
d’un Renault et réciproquement. Dans la mesure où ces différences
d’appréciations sont une source régulière d’incompréhensions en instances IRP
et sur le terrain, SUD réclame des éclaircissements juridiques sur
les points suivants : 1. Un salarié Vestalia peut-il être
légalement le responsable hiérarchique d’un Renault (ce qui implique entre
autre : la tenue des entretiens annuels, le plan de promotion et la
gestion des congés) ? 2. Si oui, pour quelles raisons
juridiques ? 3. Le lien de subordination est-il
identique entre une hiérarchique Vestalia et un salarié Renault de son équipe
à celui d’un manager Renault envers un salarié Renault ? 4. Pourquoi, s’il est juridiquement
possible pour un salarié Vestalia d’être le responsable hiérarchique d’un
Renault, la direction de Renault s’est-elle réservée le droit à sanction pour
les salariés Renault du GIE ? 5. Tous les « managers »
Vestalia actuels disposent-ils : D’un IPN ? D’un bureau manager informatique leur
permettant les mêmes opérations de management que les CUET Renault ? Si oui, pourquoi certains
« managers » Vestalia sont obligés de
passer par un « manager administratif » pour faire réaliser à
leur place certaines opérations comme la gestion des congés ? 6. Un salarié Renault peut-il être le
responsable hiérarchique d’un Vestalia ? 7. Pourquoi le délit de marchandage ne pourrait-il pas s’appliquer aux quelques exemples précédents ? |
Un GIE est un groupement
d'intérêt économique, il dispose de la personnalité morale et a pour but de
développer l'activité économique de ses membres, c'est un groupement de
moyens. Il ne peut pas et ne doit pas se substituer à l'activité de ses membres. Dans le cas précis du GIE
Vestalia, créé entre Renault et Véolia, il a été décidé que Renault d'une
part et Véolia d'autre part mettraient les salariés
à disposition du GIE pour
permettre à ce dernier de réaliser son activité. Les salariés ont conservé
leur employeur d'origine. En revanche, il y a un lien opérationnel et
fonctionnel au sein du GIE. Un salarié de Véolia peut donc être le responsable opérationnel et fonctionnel
d'un salarié
Renault et donc à ce titre encadrer un ou plusieurs Renault pour l'exercice au quotidien
de l'activité. mais avec l'avis et
l'appréciation du responsable fonctionnel et opérationnel qui peut être un salarié Véolia. L'exercice du pouvoir
disciplinaire reste chez l'employeur d'origine. La coordination entre Renault
et Véolia se fait via un comité ad hoc. |
65070/03.12/26 |
Couloirs du bâtiment
des Laboratoires: Ce bâtiment est sensible aux risques chimiques et aux incendies. A la
création de ce bâtiment, aucune armoire ne devait être implantée sur les espaces
dédiées aux passages et évacuations rapides de personnes en cas d’incident
nécessitant leur évacuation. Ces couloirs sont carrelés, équipés de douches
et d'extincteurs |
Cette question a été remontée
au service APS. Les largeurs minimales ont été validées par le service APS. Les agents
de sécurité réalisent des rondes régulièrement
et contrôlent le respect des règles de sécurité (largueur des allées, extincteurs, alarmes). |
65070/03.12/27 |
IDAV une restructuration
de plus: Nouvelle restructuration à
l'IDAV. Après plusieurs restructuration ces dernières années et la
suppression de dizaines de postes en 2011, en 2012 des UET seront supprimées
d’ici la fin mars et des CDS remplacés. Sur le terrain on entend à nouveau
dire que les mobilités à l'extérieur de la direction seront quasi impossibles
et qu'il faudra de toute manière trouver son remplaçant. SUD dénonce les méthodes
employées pour faire pression sur les salariés. Ces derniers se retrouvent
une nouvelle fois en situation de stress important face à l’incertitude forte
quant à leur avenir professionnel ajouté au sentiment d’être pris au piège. SUD réclame une intervention
urgente de la direction de l’établissement afin qu’une communication soit
faite à l’ensemble des salariés de cette direction pour rappeler que : 1. Il ne peut pas y avoir de
mobilité sans l’accord du salarié 2. Il n’y a pas de blocage des
mobilités vers l’extérieur de l’IDAV 3. Le fait de ne pas avoir de
remplaçant n’est pas un point bloquant à la mobilité 4. Des propositions de postes
seront faites courant mars aux salariés qui le souhaitent, par la fonction RH
de proximité. 5. Qu’une présentation (qualitative et quantitative) soit faite en CE sur cette nième restructuration et le devenir des salariés de cette direction qui souhaitent y rester. |
: Il ne s'agit pas d'une
nouvelle restructuration de l'iDAV, car
l'ajustement d'organisation concerne
une seule UET (8 collaborateurs). Pour des raisons de
cohérence de périmètre technique, cette UET va donner lieu à des
mobilités vers les autres UET du service, sans changement de responsabilité, ni de
périmètre technique. Par ailleurs, il n'y a aucun
blocage des mobilités hors iDAV, comme en attestent
les différentes mobilités réalisées encore récemment vers les autres
directions (Ingénierie, Qualité, Fabrication, Logistique). |
65070/03.12/28 |
Ligne téléphonique du local syndical: Nous avons alerté la direction
en expliquant qu’il n’était pas normal que la ligne téléphonique indépendante
installée dans notre local syndical soit administrativement au nom de
l’établissement. Nous recevons donc des coups de fils qui ne nous concernent
pas. A ce jour le problème n’étant pas réglé, SUD réclame que le nécessaire soit fait par l’établissement auprès de l’opérateur afin que le nom utilisateur de cette ligne soit bien « SUD Guyancourt » |
Nous allons faire le nécessaire. |
65070/03.12/29 |
Jours ancienneté en contrat à temps partiel
: SUD réclame de savoir si un salarié travaillant à
temps partiel voit ses jours d’ancienneté proratisés
par rapport à son temps de travail. Si oui, est-ce que la même règle est appliquée pour un salarié basculant à un temps partiel alors qu’il travaillait à temps plein depuis 25 ans et avait donc acquis ces jours d’ancienneté (plafonnés au nombre de 5) auparavant ? |
Le
principe est que quelque soit l’organisation du travail (normal, VSD, 80%) le
droit à congés ne peut pas excéder une semaine pour les congés d’ancienneté. Tant
que le droit est inférieur à 6 jours ouvrables, un jour de congé
supplémentaire égal
une séance de travail avec la limite correspondant au nombre de séances de
travail de son organisation du travail. Ex :
un APR < à 14 ans d’ancienneté a 4 jours ouvrables en droit donc
normalement 4 en séances de travail. S’il est en VSD
alors la limite est de 3 jours utilisables en séances
de travail ce qui correspond à son rythme hebdomadaire. L’utilisation des congés d’ancienneté ne peut pas amener à prendre plus d’une semaine. |
65070/03.12/30 |
Monétisation du CEF et des RTT individuels : Le CEF et les RTT individuels de chacun
représentent potentiellement une valeur pécuniaire due par l’entreprise à
chaque salarié. SUD réclame quelle somme cela représente-t-il au
global RENAULT TCR ? Sous quelle forme ces fonds sont-ils placés par
l’entreprise ? Est-ce que les salariés peuvent obtenir un droit de regard, en ayant par exemple 2 lignes supplémentaires sur le bulletin de salaire, transcrivant la valeur respective de chacun en euros ? |
Les jours de congés capitalisés sont conservés dans les comptes de
Renault et sont majorés des AGS et des AI. Chaque collaborateur reçoit une
indemnité correspondant à ses jours au moment de son départ ou en cas de
monétisation en cours de carrière. Indépendamment de cette situation, il est
préconisé que chaque collaborateur prenne ses congés en cours d’année. |
65070/03.12/31 |
Panneaux d’info aux gares routières : SUD demande des panneaux d’affichage d’informations électronique aux différents
points gares routières du TCR pour indiquer les événements concernant les
transports. La direction a été capable d’installer à grand frais des écrans plats dans la ruche elle doit pouvoir le faire pour les transports en commun ! |
Cela n’est pas envisagé actuellement. |
65070/03.12/32 |
Vêtements de travail : Suite aux départs de salariés qui avaient en
charge la commande de blouse de travail, il devient de plus en plus compliqué
de passer une commande dans les services. Rien dans le menu d’accès sur SAER. Sud réclame le mode d’emploi pour acquérir des blouses de travail. |
Il existe un processus
avec des correspondants dans les directions pour fournir des vêtements image de
marque. Pour faire des commandes, il faut se rapprocher de Monsieur Philippe Cart-Grandjean. |
65070/03.12/33 |
Restauration Elior propreté : Les plateaux repas, les couverts, qui sont à
notre disposition dans les cantines sont de plus en plus sales, alors qu’ils
devraient être propres ! Ces dysfonctionnements d’hygiène durent depuis des mois, quelles sont les mesures que compte prendre la direction et Elior pour remédier à cette situation ? |
Nous demandons une
attention particulière à la société Elior sur ces
points et à la maintenance une
vigilance particulière sur les mesures de la dureté de l’eau. Des bacs sont à disposition pour y déposer les couverts sales. |
65070/03.12/34 |
Cantines : Dans les cantines, on croise toujours un
certain nombre de matériels vétustes, ébréchés. Nous sommes déjà intervenus
l’an passé en DP sur ce problème, cela ne semble pas avoir suffi. SUD réclame à nouveau qu’une procédure de surveillance et de remplacement des matériels défectueux soit mise en place pour éviter que des convives ne se blessent ou ne s’intoxiquent. |
Nous demandons à la société Elior de sensibiliser son personnel sur ces points et de jeter la vaisselle dégradée pour éviter des blessures éventuelles. |
65070/03.12/35 |
Distribution de tracts syndicaux aux
cantines : Vendredi 3/02/2012 à 12h30, nous avons pu
constater que l’organisation syndicale FO distribuait un tract intitulé « Restaurer enfin le pouvoir
d’achat » devant les restaurants de l’établissement de
Guyancourt. Plus d’une dizaine de militants FO étaient ainsi déployés devant
les différents restaurants du TCR pour cette activité. Jusqu’à présent, par manque de militants sur
le site et pour cause de non représentativité, cette organisation syndicale
se cantonnait aux parkings extérieurs de l’établissement pour la diffusion de
ses tracts. Nous avons donc demandé par curiosité à
plusieurs diffuseurs d’où ils venaient et pourquoi ils diffusaient à
l’intérieur cette fois-ci. La réponse, fut unanime : « Nous avons l’autorisation de
l’établissement et nous sommes de l’usine de Flins »
Mr PACINI présent à quelques mètres des
diffuseurs de FO, a été interpellé par notre délégué syndical SUD Mr GUEGUEN,
pour lui demander des explications. La seule réponse embarrassée que Mr PACINI
ait su donner, c’est « qu’ils
étaient de l’établissement », en totale contradiction avec l’aveu
des diffuseurs FO, puisque ceux qui distribuaient aux restaurants des
Rotondes n’ont absolument pas caché leur affectation en défendant le fait
qu’ils venaient de l’Usine de Flins. Lors des dernières élections
professionnelles de 2009, FO a obtenu 1,54% des suffrages, perdant ainsi sa
représentativité et plusieurs élu(e)s sur l’établissement. Ils/elles se
comptent désormais sur les doigts d’une seule main. En autorisant la venue sur le site de
militants FO extérieurs, la direction fait donc le choix d’aider cette
organisation syndicale dans sa reconstruction avec la perspective des
prochaines élections de 2013. Or il nous semble que ce qui pourrait s’apprécier comme un geste démocratique à destination de partenaires sociaux, ne doit en revanche en aucun cas constituer un privilège en faveur d’une organisation syndicale par rapport à une autre. C’est pourquoi, le syndicat SUD vous réclame par souci d’équité, les mêmes autorisations d’entrée dans tous les établissements où nous ne sommes pas présents (usines de Flins, Sandouville, Le Mans, Etablissement du Siège à Boulogne-Billancourt, etc.…). |
Ainsi,
que vous l’avait déjà dit Monsieur Pacini, nous
vous confirmons que nous n’avons
pas été sollicité par le syndicat FO afin d’autoriser cette diffusion. Enfin,
s’agissant de la distribution de tracts de votre organisation syndicale dans
les sites industriels que vous évoquez, nous n’avons pas compétence pour accorder cette autorisation
en lieu et place des établissements concernés. |
65070/03.12/36 |
Sablage aux portes de l’établissement : Du "sablage ou salage" a été fait
aux différentes portes de l’établissement et plusieurs salariés sont tombés
par effets de glissance à ces endroits traités ! SUD réclame des mesures de préventions et des explications. |
le salage et le sablage
sont des mesures de prévention. Néanmoins certaines zones peuvent ne pas être totalement
sécurisées. Merci de prévenir en faisant le 11800 ou par mail au service condition de travail. |
65070/03.12/37 |
Eligible ou pas ? Concernant le contrôle des horaires qui va être
mis en place, le syndicat SUD réclame de savoir qui est éligible ou pas, car
le débat fait rage dans l’établissement. Quels sont les critères retenus ? Qui décide ? Qui donne des dérogations ? Y a t’il des quotas par services ? Sud réclame des réponses à ces différentes questions de l’éligibilité. |
Le Kit déployé par les
managers aux collaborateurs fin décembre 2011 précise les conditions définies dans l’accord du 17 mai 2011. |
65070/03.12/38 |
Badge
des élus : Il semblerait que plusieurs secteurs sont à nouveau interdits de passage pour les élus du personnel, SUD réclame le libre accès sur l' ensemble de l' établissement à ses élus . |
Aucun passage n'est
interdit aux élus, cependant au vue du changement des systèmes du contrôle
d'accès, nous sommes dans une phase de transition ou s'opère aussi bien un
changement physique que logiciel. De ce fait, il se peut que certains secteurs
non encore réceptionnés et opérationnels puissent poser des problèmes
d'accès. Nous nous efforçons de rectifier ces problèmes dès que nous en avons connaissance. |
65070/03.12/39 |
Remise
sur les VH neufs: Alors que la direction générale mise
beaucoup sur le développement du véhicule électrique, et lorsque que l’on
sait l’incitation pour la famille et l’entourage que peut représenter le fait
que des salariés achètent et roulent dans des véhicules récents de la gamme,
on comprend mal pourquoi, alors que pour les véhicules à moteur thermique les
remises consenties au personnel Renault varient entre 19 et 26 %, il n’est
que de 3% pour tous les VE . Ce qui revient à dire qu’il n’y a pas de remise
pour le personnel si l’on considère que la valeur de cette remise correspond
également à ce qui peut être proposé
dans le réseau pour les clients extérieurs. SUD réclame que la remise personnel Renault pour les VE soit du même ordre de grandeur que pour les autres modèles de la gamme. |
Nous allons faire remonter cette question à la direction commerciale. |
65070/03.12/40 |
Déodorisant sanitaires: Aux Questions 66 de janvier & 70 de
février concernant l’absence de nocivité des systèmes automatiques de
vaporisation de déodorisant dans les blocs sanitaires, la direction a répondu
dans son compte-rendu que le service des conditions de travail documentait la
question. SUD réclame de connaître les réponses aux questions posées |
Les désodorisants concernés ne sont pas toxiques ni nocifs. La fiche des données de sécurité est disponible au service condition de travail pour consultation. |
65070/03.12/41 |
Congés
2012: Le compte-rendu de l’instance du mois
dernier n’apporte pas de réponse à plusieurs de nos réclamations. Il reprend
simplement les éléments de la note.
C’est bien parce que le contenu de cette note n’est pas adapté à notre établissement et qu’il met en
difficulté un certain nombre de salariés, que nous insistons à nouveau, pour
que les réclamations suivantes ne figurant pas dans la note soient prises en
compte 1. L’ouverture d’une négociation locale
ayant pour objectif de tenir compte des spécificités de l’établissement en
élargissant la période de prise de congés entre le 1er juin et le
30 septembre. 2. La reconnaissance de dérogations pour
raisons personnelles comme l’accord central le permet et non de raison
familiale majeur comme le réduit la note. 3. Un changement de procédure dans l’octroi des
dérogations. 3.1. Que le N+1 soit le valideur
des dérogations. 3.2 En cas de refus, que le salarié puisse demander l’arbitrage du CDS ou de la direction opérationnelle. |
Actuellement, il n’est pas prévu d’ouvrir des négociations sur ce sujet. |
65070/03.12/42 |
Modification sur
badge : Suite à notre question 29 du mois dernier
concernant une erreur nominative sur un badge d’un salarié d’une société de
prestation, la direction a répondu qu’il était tout à fait possible de
refaire un nouveau badge. Malgré différents courriels, la prise en compte de
la demande n’est pas encore effective. SUD réclame de connaître la procédure exacte permettant de régler ce problème. |
Il
existe deux possibilités pour que cette erreur se produise : -
Le correspondant GAC de la personne a fait une erreur de saisie dans la GAC. Dans
ce cas, le correspondant modifie le nom dans la GAC et la personne se rend au
local badge
pour faire réimprimer son badge. -
Le local badge a fait une erreur de saisie, la personne se rend directement
au local badge pour faire réimprimer son badge. |
65070/03.12/43 |
Projet de règlement
intérieur : contradiction: De manière globale, le message envoyé par la
direction est pour le moins surprenant. Après avoir communiqué il y a
quelques mois sur la volonté d’inscrire la confiance envers les salariés
comme le mode fonctionnement retenu pour mettre en place de nouvelles
procédures inscrites dans la simplification de Renault, dans les nombreux
ajouts du projet de règlement intérieur, il n’est pratiquement question que
de sanctions et d’interdictions. Cette nouvelle orientation est
contradictoire avec les dispositions annoncées il y a quelques mois. On ne
peut à la fois demander aux salariés de faire preuve d’autonomie et les
menacer de multiples sanctions s’ils ne respectent pas une kyrielle de règles
dont un certain nombre peuvent être sujettes à interprétation. Le principe de précautions dans ce cas pour
un salarié consiste à prendre le moins possible d’initiatives pour éviter que
toute mauvaise interprétation ne se solde par des sanctions. SUD réclame : 1. Que
le nécessaire soit fait dans les procédures et documents sur les
responsabilités de chacun, quant à leur validation, l’utilisation et ce pour
les règles propres à l’ensemble de l’établissement. 2. Que les notes locales propres à une direction ou un service (déjà éditées ou à venir) de nature à pouvoir entraîner une sanction, passent avant validation dans les CHSCT afin que les comités en vérifient la conformité par rapport aux droits des salariés. Le fait qu’un service édite une note n’implique pas nécessairement que cette dernière soit parfaitement conforme au droit du travail. N’attendons pas qu’un litige défavorable à un salarié ne survienne pour aborder le problème. |
Le règlement intérieur a
fait l’objet d’une présentation dans l’ensemble des CHSCT et doit faire l’objet prochainement d’une présentation en CE. |
65070/03.12/44 |
Projet de règlement
intérieur : Objet et champ d’application: Dans l’article 1 d’introduction du projet, il est
ajouté que les dispositions individuelles et collectives relatives à
l'hygiène, la santé et la sécurité, ainsi que, le cas échéant, les règles de
discipline générale, s'appliquent aussi aux salariés d’une entreprise
extérieure et aux visiteurs. SUD réclame de savoir quel pouvoir et quelle
procédure disciplinaire la direction entend-t-elle exercer à l’égard de
salariés visiteurs qui ne sont nullement liés à un contrat de travail avec
Renault. SUD réclame de savoir si ces dispositions s’appliqueraient également aux visiteurs des locaux syndicaux. |
Le règlement intérieur
a fait l’objet d’une présentation dans l’ensemble des CHSCT et doit faire l’objet prochainement d’une présentation en CE. |
65070/03.12/45 |
Projet de règlement
intérieur : précisions indispensables: Sur l’ensemble du projet et particulièrement
sur les ajouts, on trouve en plusieurs endroits le terme recouvrant une zone
géographique « enceinte ». Afin d’éviter les litiges, SUD réclame
que ce terme soit obligatoirement accompagné d’un terme en précisant les
limites. S’agit-il de l’enceinte badgée ou de l’enceinte recouvrant les
limites extérieures de la clôture ? Exemple 1 : article 3.2. Si le terme
« enceinte » correspond à la définition géographique la plus large,
le projet indiquerait que l’entrée de personnes étrangères à l’établissement
nécessite l’accord de la direction. Or, cette autorisation n’est pas
nécessaire pour les locaux syndicaux. Exemple 2 : article 3.2. Extrait
« le personnel pourra être invité à se soumettre au contrôle du service
sécurité le contenu de ses effets, objets personnels, et véhicules,
etc.. » La zone géographique du contrôle n’étant pas précisée cela
peut sous entendre que les véhicules personnels des salariés situés sur les
parkings pourraient être concernés, ce qui n’est légalement pas possible.
Dans son article 2, le projet précise les définitions des zones 1et 2, selon
que la zone soit badgée ou non. SUD réclame que cette précision soit portée
sur tous les articles du projet qui le nécessitent. De plus, le terme « effet » comprend également les vêtements personnels. La direction précise qu’en cas de refus, du salarié il sera fait appel à un OPJ. Nous alertons la direction sur le fait que l’OPJ doit être systématiquement présent et qu’il n’est pas question que les affaires personnelles des salariés soient « fouillées » par des Renault qu’ils appartiennent au service de sécurité ou non. |
Le règlement intérieur
a fait l’objet d’une présentation dans l’ensemble des CHSCT et doit faire l’objet prochainement d’une présentation en CE. |
65070/03.12/42 |
Projet de règlement
intérieur : droits des salariés oubliés: L’article 3.7 l’interdiction de rassembler des
salariés et de prendre la parole ou toute autre manifestation de ce genre,
pour des raisons non inhérentes à l’établissement et qui en perturberaient
l’activité, est très incomplète. Nous comprenons que les réunions de travail
devraient pouvoir continuer à se tenir sans demander de dérogation. Par
contre, rien n’est précisé sur le respect du droit reconnu d’expression des
salariés. Rien non plus sur les périodes ou le lien de subordination est
rompu du simple fait que les salariés ne sont pas payés. Si l’article évoque
les dispositions légales et conventionnelles (droit de grève) le « etc » qui suit manque singulièrement de précision. SUD réclame : que le droit d’expression des salariés prévu dans le code du travail et le respect de la rupture du lien de subordination mise en place en 1999 par la direction pour amputer des droits aux congés, soient clairement intégrés dans le projet de règlement intérieur. |
Le règlement intérieur
a fait l’objet d’une présentation dans l’ensemble des CHSCT et doit faire l’objet
prochainement d’une présentation en CE. |
65070/03.12/47 |
Projet de règlement
intérieur : Boissons alcoolisées, les cantines: D’après l’article 2.1.4, il sera interdit de
distribuer ou de consommer des boissons alcoolisées. L’exception des cantines
ne figure pas dans le projet. La direction aurait-elle l’intention de faire
supprimer la vente et la consommation de boissons alcoolisées dans les
enceintes des 5 cantines ? S’il est vrai que les occasions de fêter un
événement d’origine professionnelle en trinquant avec des collègues le midi,
se font de plus en plus rares, la naissance d’un enfant ou sa réussite
scolaire, un mariage par exemple peuvent être l’occasion d’un moment
convivial sans pour autant que cela ne se solde par des problèmes d’ébriété
l’après-midi SUD réclame que l’exception des cantines figure clairement précisée dans le règlement intérieur. |
Le
règlement intérieur a fait l’objet d’une présentation dans l’ensemble des CHSCT et doit faire l’objet
prochainement d’une présentation en CE. |
65070/03.12/48 |
Projet de règlement
intérieur : Boissons alcoolisées, les mesures: Pour le même article, il est fait état dans
le projet de la possible utilisation d’alcootest ou autres appareils de
mesure homologués. Comme cela n’est pas précisé, SUD réclame de
connaître : 1. La fonction et le statut de la personne
qui effectuerait ces mesures 2. Puisqu’il s’agit de mesure pouvant entraîner
une sanction envers un salarié, les procédures, moyens, fréquences et
accréditation des personnes en charge des vérifications des matériels entrant
dans la boucle de mesure du taux d’alcoolémie
et que copie des rapports de
vérifications établis soient donnés aux IRP de l’établissement. 3. Le projet mentionne la prise en charge par le service de santé au travail. De quelle prise en charge s’agit-il ? Le service médical aura-t-il obligation d’informer l’employeur ? Sous quelle forme et avec quel document protégé (création d’un document S2N ?) cette indication aura lieu ? Qui sera chargé de cette obligation au sein du service médical ? |
Le règlement intérieur
a fait l’objet d’une présentation dans l’ensemble des CHSCT et doit faire l’objet prochainement d’une présentation en CE. |
65070/03.12/49 |
Projet de règlement
intérieur : drogues et produits stupéfiants, les mesures: SUD réclame de savoir si les mêmes
dispositions de contrôles/obligations pour le service médical s’appliqueront
pour les dépistages des drogues et produits stupéfiants. SUD réclame la liste des produits stupéfiants susceptibles d’être recherchés, et les moyens associés à ce dépistage suivant les produits. |
Nous poserons la question au service
médical. |
65070/03.12/50 |
Projet de règlement
intérieur : Hygiène et sécurité des vestiaires: Au chapitre 2.2.1 il est détaillé les
motivations et conditions pour la fouille des vestiaires. On y apprend que
« la direction de réserve le droit de les faire ouvrir afin d’en
contrôler le contenu au cas où la nécessité de l’hygiène et de la sécurité
l’exigeraient ». Cet énoncé nous apparaît trop large. SUD réclame de savoir quels risques, typiquement la disparition de quel(s) matériau(x), constaté au préalable, permettra d’ouvrir les casiers pour les nécessités de l’hygiène et de la sécurité. |
Le
règlement intérieur a fait l’objet d’une présentation dans l’ensemble des CHSCT et doit faire l’objet
prochainement d’une présentation en CE. |
65070/03.12/51 |
Projet de règlement
intérieur : Discipline: Dans le chapitre 3, la direction évoque des
consignes et prescriptions portées à la connaissance du personnel par les
responsables hiérarchiques, par voie de notes de service ou d’affiches,
conformément à l’article L1321-5 du code du travail sauf en cas d’urgence justifiée. SUD réclame que le règlement intérieur inclue la rédaction totale de l’article L 1321-5, de sorte qu’il n’y ait aucun doute que les dites prescriptions seront immédiatement et simultanément communiquées aux secrétaires des comités d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail, au secrétaire du comité d'entreprise ainsi qu'à l'inspection du travail. |
Le règlement intérieur
a fait l’objet d’une présentation dans l’ensemble des CHSCT et doit faire l’objet prochainement d’une présentation en CE. |
65070/03.12/52 |
Contrôle horaire: Depuis 2 mois nous réclamons d’avoir des réponses
à certaines réclamations qui concernent le contrôle horaire que la direction
souhaite mettre en place. La direction par 2 fois a considéré qu’elle ne
pouvait apporter de réponse à nos questions et nous a répondu que le projet
n’était encore qu’en phase pilote. Nous supposons que si la direction est
prête à la présentation de ce sujet en CE, c’est que les dernières réponses
ont été trouvées. C’est pourquoi, SUD réclame que
des réponses motivées soient apportées aux questions suivantes : 1. De connaître la procédure qui sera mise
en place pour la régularisation des compteurs pour le temps passé sous mandat
syndical. 2. de connaître comment s’effectueront les
décomptes des heures de travail pour un salarié du TCR en déplacement sur un
autre site (ex : le CTA) qui quitterait ce site avant 15h30 pour rentrer
à son domicile avec le VH du pool ou rentrer au TCR 3. Le contrôle horaire nécessitant une
mesure du temps faisant par ailleurs l’objet d’une transaction commerciale
puisque impactant les congés donc le salaire, de connaître précisément les
procédures, moyens, fréquences et accréditation des personnes en charge des
vérifications des matériels entrant dans la boucle de contrôle horaire et que
copie des rapports de vérifications
établis soient donnés aux IRP de l’établissement. 4. La procédure à suivre en cas de contestation par un salarié des relevés horaires le concernant. |
Le mandat syndical ne
sera pas géré dans le portail horaire variable, le bordereau
mensuel sera toujours à documenter. Il faudra simplement
déclarer un code générique de mandat en cas de sortie du site. |
65070/03.12/53 |
Contrôle horaire zone
test (1): Pour des salariés en test, des messages
intempestifs fleurissent sur les écrans des PC tout au long de la journée
rappelant qu’il y a des écarts de minutes pour la ou les journées
précédentes. Ces rappels réguliers alors qu’ils ne sont pas demandés par le
salarié apparaissent comme des virus au beau milieu du travail en cours et
agace fortement celui qui les subit. SUD réclame que le logiciel soit revu pour faire disparaître ce dysfonctionnement. Une alerte le matin suffit à l’information du salarié. |
Nous renouvelons notre réponse, le projet est en
phase pilote. Cette phase de test entraine des modifications et ajustements
avant de valider le démarrage établissement. En conséquence, il n’y aura pas de communication
avant le démarrage officiel. |
65070/03.12/54 |
65070 / 03.12 / 11
SUD :
Contrôle horaire zone test (2): Toujours pour les zones tests, il manque
dans le logiciel des items permettant au salarié de justifier certaines
absences au lendemain de son manque horaire de la veille, exemple : La
franchise éducation de 10h heures. Ceci obligera le N+1 à porter les corrections
que le salarié aurait du pouvoir effectuer lui-même. SUD réclame que tous les motifs d’absences justifiées (congés spéciaux, franchises diverses, absences pour examen, etc.. ) figurent bien sous forme d’items accessibles par le salarié, sur le logiciel. |
Le projet est en phase
pilote. Cette phase de test entraine des modifications et
ajustements avant de valider le démarrage établissement. En conséquence, il n’y aura pas de communication
avant le démarrage officiel. |
65070/03.12/55 |
Local syndical :
problèmes récurrents: Depuis la réception de notre local syndical,
nous n’arrivons pas à disposer d’une température et d’un système de
ventilation suffisants. Nous avons été obligés d’acheter un radiateur
électrique pour tenter de compenser les degrés manquants et nous subissons
les conséquences d’une ventilation trop faible. Nous pouvons comprendre qu’à
la réception, il puisse être nécessaire d’effectuer quelques réglages. Mais
depuis, un certains nombre de mois ont passé sans que les réglages ne suffisent.
L’hypothèse d’un sous dimensionnement se renforce chaque jour. SUD réclame : 1. Qu’un plan d’action avec échéancier soit
établi pour régler ces problèmes 2. Que nous soyons informés de son avancement. |
Cette
question est prise en compte par la direction qui a
fait des relances auprès des différents acteurs. |
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Entretien
annuel support électronique: Toujours des soucis avec ce support
d’entretien. Les commentaires des salariés ont bien du mal à apparaître le
lendemain de leur rédaction et il faut procéder à une gymnastique
informatique pour vérifier qu’ils font toujours partie du document. Cela
n’est pas normal. SUD réclame une nouvelle fois des
modifications du logiciel pour que : 1. Il soit possible d’entrer des
commentaires sans avoir à signer préalablement 2. Que les commentaires du salarié
apparaissent systématiquement dans le document. Enfin, malgré un compte rendu DP antérieur
qui indique clairement que pour éviter le blocage de l’entretien informatique
lorsqu’un salarié refuse de signer, il est possible si ce dernier le souhaite
de passer sur support papier ; il existe encore des managers qui tentent
par l’intimidation de faire croire que la signature est obligatoire et le
support papier non prévu dans ce cas. SUD dénonce une nouvelle fois de telles pratiques qui bafouent ouvertement le droit des salariés et réclame une intervention de la direction pour que tous les managers le respectent. |
Il n’est pas prévu de faire une modification
du logiciel. |
65070/03.12/57 |
Cadeaux : Suite à notre question 31 de l’instance DP du mois dernier, SUD réclame de savoir à quelle date seront portées sur les bulletins de salaires, les informations concernant les cadeaux en nature attribués à certains salariés en décembre 2011. |
Nous appliquons la réglementation en vigueur. |
65070/03.12/58 |
Déménagements
clandestins : Nous constatons que de plus en plus de
déménagements se déroulent hors procédure : pas de date précise pour le déménagement, seulement une date
impérative pour quitter les lieux, aucun carton mis à disposition, pas de déménageur, le personnel doit assurer
lui-même le travail, pas de coordination avec le service informatique
pour le suivi des connexions, SUD réclame les raisons de cette dérive. La gestion des déménagements ne doit pas revenir aux salariés qui n’ont rien demandé. SUD réclame que la direction intervienne pour que cessent ces contournements. |
Un rappel sera fait à Vestalia. |