N°
de question |
QUESTION
S.U.D. |
REPONSES
DE LA DIRECTION |
65070/02.12/23 |
Réservation et gestion
des véhicules du pool : Depuis fin 2011, lors
d'une demande de réservation d’un véhicule, il n'y a pas de réponse à la
demande tant qu'un véhicule n’est disponible. Exemple 1 :
vendredi 6/1/2012 demande de prêt du 10/1 au 13/1/201, pas de réponse à la
date du 10/1 Exemple 2 :
décembre 2011 : Lors d’une demande de réservation, un véhicule a été
affecté 2 jours après la date de début de prêt. Ces dysfonctionnements
impactent grandement l’organisation du travail de celle ou celui qui se
retrouve sans véhicule à la date prévue. SUD réclame : De
connaître les raisons de ces dysfonctionnements. 1.
Que le système de communication
pool/client soit modifié afin qu’au minimum, celui qui a fait une demande de
prêt soit averti avant la date de début qu’il n’aura pas de véhicule et qu’il
puisse donc s’organiser pour tenter d’en atténuer les conséquences. 2.
Que si le manque de véhicules soit la
raison pour laquelle, certaines demandes de prêt ne peuvent être honorées,
qu’une dotation supplémentaire soit affectée très rapidement au pool. |
Nous allons étudier les causes de ces dysfonctionnements. |
65070/02.12/24 |
Entretien véhicule
électrique : Pour
l’instant le problème ne se pose que pour des véhicules internes à
l’entreprise, mais cela risque fort de s’étendre aux véhicules personnels des
salariés dans un futur proche. Il semblerait que le Techno-service pourtant
habilité à intervenir sur des véhicules électriques, n’ait pas le droit de
les réparer. SUD
réclame de savoir 1.
Si cette information est confirmée par la
direction. 2.
Si oui, quelles sont les raisons du refus. 3.
Quelle est la solution de remplacement dans
l’immédiat pour les services qui ont besoin de faire l’entretien de leurs VE. 4.
A terme, s’il est prévu que le techno-service
intervienne sur des VE. |
Nous allons vérifier. |
65070/02.12/25 |
Contrôle horaire,
absence de réponse DP: A
plusieurs de nos questions DP du mois dernier ayant trait à la mise en place
prochainement du contrôle horaire, la direction a répondu que cela pourrait
ou ferait l’objet d’une information en commission de suivi de l’accord où ne
sont présentes que les 2 organisations syndicales signataires. Extraits
de plusieurs réponses figurants au CR du mois précédent : ·
L’ensemble du dispositif sera communiqué
dans le cadre de la commission de suivi horaires variables de l’accord signé
par la CFDT et la CFE-CGC. ·
Le projet est en phase de développement
technique et fera l’objet d’une information en commission de suivi. ·
Cette question a fait l’objet d’une
présentation au CE de décembre 2011. Par ailleurs, cette question sera
abordée en commission de suivi. ·
Cette question pourra être abordée en
commission de suivi. Ce
positionnement de la direction constitue un refus de répondre aux
réclamations d’une instance où siègent la totalité des délégués du personnel.
Nous alertons la direction sur l’aspect discriminatoire d’une telle attitude,
sur le non respect de représentants légaux du personnel et le délit d’entrave
constitué. SUD
réclame que des réponses motivées soient apportées en instance DP sur les
interrogations et réclamations que l’ensemble des salariés adresse à la
direction par le biais de ses représentants. La
direction tente de justifier partiellement ses absences de réponse en
argumentant sur le fait que le projet de contrôle horaire serait en phase de
développement technique. Pourtant
les questions que notre organisation syndicale pose sont issues de kits de
communication que la direction à envoyé aux différents hiérarchiques sur le
sujet. Nous ne pouvons imaginer que la direction ait pu construire ces kits
de communication précisant les détails de la mise en place, sans avoir
préalablement trouvé les réponses aux questions que nous posons. SUD
réclame que des réponses motivées soient apportées aux questions
suivantes : De
connaître la procédure qui sera mise en place pour la régularisation des
compteurs pour le temps passé sous mandat syndical. De
connaître comment s’effectueront les décomptes des heures de travail pour un
salarié du TCR en déplacement sur le CTA qui quitterait ce site avant 15h30
pour rentrer à son domicile avec le VH du pool ou rentrer au TCR. Le
contrôle horaire nécessitant une mesure du temps faisant par ailleurs l’objet
d’une transaction commerciale puisqu’impactant les congés donc le salaire, de
connaître précisément les procédures, moyens, fréquences et accréditation des
personnes en charge des vérifications des matériels entrant dans la boucle de
contrôle horaire et que copie des
rapports de vérifications établis soient donnés aux IRP de l’établissement. La
procédure à suivre en cas de contestation par un salarié des relevés horaires
le concernant. |
Le dossier a été présenté au CE de décembre 2011. Nous sommes en phase pilote. Il s’agit de la gestion d’un
projet. D’autant plus qu’en phase pilote nous aurons encore des modifications avant le démarrage établissement |
65070/02.12/26 |
Commission transport: Le
mois dernier nous réclamions une véritable concertation entre les
organisations syndicales et la direction pour mettre en place un plan
d’actions de nature à améliorer très sensiblement les problèmes de transport
collectif. Dans son compte-rendu, la direction précise que la concertation
demandée existe et est mise en place au travers de la commission transport. Lors
de la dernière réunion du 17 janvier, le représentant de la direction face à
la remontée de problèmes récurrents, nous a en guise de réponse, conseillé de
faire un nouveau un courrier au STIF. Nous considérons que ce n’est pas une
réponse de nature à faire avancer positivement les nombreux problèmes que les
usagers rencontrent quotidiennement et encore moins un élément que nous
puissions considérer comme le déroulement normal d’une concertation. SUD
réclame à nouveau : 1.
Une réelle prise en compte des problèmes
d’allongement du temps de transport, de la fatigue et du stress que cela
engendre. 2.
La création de lignes Renault en remplacement des
lignes les plus problématiques desservant le TCR. |
Les
réclamations de SUD ont été transmises à la commission transport pour prise
en compte. |
65070/02.12/27 |
Salaires: Lors
de la dernière instance DP, en réponse à nos réclamations d’un rattrapage
salarial mensuel de 300 € et d’un treizième mois de salaire pour compenser
une partie de la perte de pouvoir d’achat, la direction dans son
compte-rendu, nous indique que cette question est à aborder dans le cadre de
la négociation annuelle des salaires. SUD
réclame de connaître la date, l’heure et l’endroit de la première réunion NAO
à venir, afin qu’un de nos représentants puisse y participer. |
Cette question ne peut être traitée dans cette
instance et comme vous le savez les NAO ont débuté le 2 février. |
65070/02.12/28 |
hébergement de salariés
d’usine en mission au TCR: Depuis
le mois de juin 2011 plusieurs dizaines de salariés de l’usine de Douai sont
en mission au CRPV. Pour les hébergement en région parisienne, ils ont
visiblement du se débrouiller par eux-mêmes pour trouver un toit. Pour
minimiser les frais, le plus souvent dans ce genre de situation, la solution
adoptée est de louer à plusieurs. Pour
un F3 à 1200 € mensuels en région parisienne cela représente une somme de
400€ par personne dont le remboursement de l’entreprise ne couvre pas la
totalité. Ces
salariés sont donc condamnés en plus de leur loyer ou de leur crédit dans la
région de Douai à perdre de l’argent de leur salaire pour se loger près du
TCR. Cela est parfaitement anormal. Peu
importe si la responsabilité de ces remboursements incombe au site de Douai
ou du TCR, il s’agit de la même entreprise, ce problème peut donc trouver une
solution rapide. SUD réclame : 1.
Que la totalité des frais d’hébergement soient
pris en charge par l’entreprise. 2.
Que par rétroactivité le différentiel de ce qui
n’a pas été remboursé depuis le début de la mission leur soit rendu. 3.
Que l’unique plein de carburant et ticket de péage
autoroute payés par mois pour retourner chez eux soit augmenté de la somme
nécessaire leur permettant de retrouver leur famille chaque week-end. 4.
Que la direction vérifie sur le site du TCR que
les salariés provenance d’autres sites ne soient pas dans le même cas. 5.
Si oui, que le nécessaire soit fait très
rapidement pour faire disparaître ce dysfonctionnement. 6.
Que pour les salariés devant venir en mission sur
notre site, une prise en charge par l’entreprise de la recherche
d’hébergement soit effective. |
Le lien sur déclic qui permet
d'accéder à la note de règlementation en vigueur concernant les déplacements
en France : http://notope01.renault.fr/AER2/rpif31.nsf/URLReference/RPIFFRSP120110003?Open Les
informations liées aux frais sont notées dans le paragraphe 5. Rappel, les barèmes applicables à
compter du 1er aout 2011 : Option Forfait
grand déplacement: 68 euros pour les 3 premiers mois
de mission 58 euros à partir du 1er jour du
4ème mois et jusqu'au 24ème mois de mission 48 euros à partir du 1er jour du
25ème mois et jusqu'au 72ème mois de mission Option Sur
justificatif Nuitée et petit déjeuner
(uniquement grand déplacement) Paris et région parisienne 96 euro. |
65070/02.12/29 |
Signe de respect: Un
salarié prestataire a constaté lors de la remise de son badge, une faute
d'orthographe déformant son prénom. Il n'a pas pu faire corriger cette erreur
issue d'un listing mal renseigné, et utilise toujours ce badge. D’aucuns
pourraient sans doute considérer qu’il ne s’agit pas là d’un
dysfonctionnement d’une gravité extrême, nous considérons cependant qu’il
témoigne d’un manque de discernement sur l’importance et l’attachement qu’une
personne peut avoir au respect de son patronyme. SUD
réclame qu’une attention administrative soit portée afin d’éviter et corriger
si besoin ce type d’erreur administrative, première marque de respect envers
l’individu. |
Le badge peut facilement être refait. |
65070/02.12/30 |
Interphones défaillants: Alors
que le système de contrôle des horaires de certains salariés est en cours de
déploiement, nous constatons quotidiennement de nombreux dysfonctionnements
tels que portillons HS, ou anciens badges ne supportant plus le nouveau
système. Suite
à ces imprévus nous avons remarqué que les interphones vers le poste de
gardiennage étaient souvent défaillants, au point qu'il fut directement
proposé à un salarié d'appeler par téléphone le gardien, car ce dernier
savait ne pas pouvoir l'entendre correctement avec l’interphone. On
imagine aisément les complications et les problèmes que cela va occasionner
lors de la mise en application du contrôle horaire. La direction ne pourra
pas comptabiliser en temps de retard, celui généré par l’obligation pour un
salarié de faire le tour du site pour se rendre à l’accueil parce que son
badge ne passe pas et que l’interphone placé au tourniquet ne permet pas de
communiquer avec le gardiennage. SUD
réclame : 1. Les réparations nécessaires à la remise en
état opérationnel de tous les interphones situés aux tourniquets des entrées/sorties
du site. 2. A défaut de réparer ces interphones que
puisse être fourni à chaque salarié un téléphone portable lui permettant
d'appeler le PC sécurité sur un numéro vert gratuit. |
Les interphones installés aux
tourniquets sont considérés comme des platines téléphoniques. Un nouvel état
des lieux va être fait très rapidement avec un appel au 11000 pour tous
dysfonctionnements constatés. 2. Non concerné par cette
proposition 3. Nous ne sommes pas à l’abri
d’un dysfonctionnement total des installations, les incidents majeurs de ce
type empêchant l’accès au site pour l’ensemble des collaborateurs seront bien
évidemment enregistrés. Les oublis badges ne seront pas notés sur un registre
spécifique et devront continuer à faire l’objet d’un passage à l’accueil. |
65070/02.12/31 |
Des augmentations individuelles
plutôt que des cadeaux: Un certain nombre de
salariés ont reçu un cadeau d'une valeur estimée semble t'il à 50€ (vu
l'aspect très confidentiel de cette mesure nous ne savons pas exactement si
ce montant est le même pour tous). Conformément à la législation cet avantage
en nature doit être déclaré au fisc par le bénéficiaire, et est également
soumis aux cotisations patronales et salariales. SUD réclame 1.
De manière générale, des augmentations
individuelles plutôt que des opérations de ce type. 2.
Que le secteur donateur informe les salariés ayant reçu ce « cadeau » du
montant de cette somme afin que ces derniers soient en conformité avec la
loi. 3.
Que le montant et les cotisations afférentes
soient reportés sur les bulletins de salaire. 4.
Que les salariés soient informés lors du report
sur leur bulletin de salaire du détail des cotisations retenues pour ce
cadeau, afin de garantir la traçabilité
de la correction. |
Cette opération est réalisée en respectant la
législation en vigueur. |
65070/02.12/32 |
Acquis formation: Pour
les salariés intéressés par les formations Div-days de 2012 proposées par la
direction récemment présentées, SUD réclame de savoir s’il sera possible pour
un candidat à la GPEC de faire valoir les acquis de ces formations sur son CV
? |
Les métiers day de la DIV 2012 ont
clairement été conçus par le métier sur l’axe employabilité et
transférabilité des compétences acquises. Ces formations ont été affichées
par le métier pour « développer les compétences en soutenant les
ruptures méthodologiques et favorisant la polyvalence et la culture
automobile multi métiers ». |
65070/02.12/33 |
Horaires Gradient: Actuellement
les salariés du Gradient ne bénéficient pas du même horaire d’entrée que le
reste du site (6h45). La seule solution pour les salariés arrivant tôt est de
faire le tour pour passer par les parkings comme pourrait le faire une
personne entrée de l’autre coté du site. SUD
réclame que l’horaire d’ouverture soit le même pour l’ensemble du site
(Gradient compris). Il est anormal de pénaliser les résidents de ce secteur. |
Cette question est prise en compte pour
vérification. |
65070/02.12/34 |
congés 2012: Comme
chaque année, des salariés font se retrouver confrontés à des problèmes de
dates de congés. Certains même ne pourront pas partir en vacances, bloqués
par des interprétations très locales de la note d’établissement plus
contraignante que l’accord central dont elle est en théorie issue. SUD
réclame l’application de l’accord central pour L’ouverture
d’une négociation locale ayant pour objectif de tenir compte des spécificités
de l’établissement en élargissant la période de prise de congés entre le 1er
juin et le 30 septembre. La
reconnaissance de dérogations pour raisons personnelles comme l’accord
central le permet et non de raison familiale majeur comme le réduit la note. Pour
l’application de la note, une bonne partie des problèmes rencontrés sur le
terrain tient à des schémas hélas récurrents : Refus
par le CDS de dérogations alors que
les N+1 des salariés ne s’y oppose pas. Ce qui met le N+1 en porte-à-faux. Ou
le N+ Pour
que les refus ne soient pas apparents, la technique consiste à faire circuler
un planning prévisionnel, à mettre la pression sur les salariés demandeurs de
dérogation jusqu’à ce que contraints, les dates demandées dans le worflow
soient bien comprises dans les 6 semaines « officielles » de la
note. Il n’y a donc pas de refus visible. Que
les salariés contraints inutilement à des dates de congés qui ne leur
conviennent ne puissent profiter de leur congés et soient démotivés pour le
restant de l’année, ne semble pas au regard du respect d’une consigne
parfaitement inutile, avoir une grande importance. SUD
réclame un changement de procédure dans l’octroi des dérogations. 1. Que le N+1 soit le valideur des dérogations.
2. En cas de refus, le salarié demande
l’arbitrage du CDS ou du direction opérationnel. |
La note sur les congés annuels prévoit une certaine
souplesse (20% des congés annuels principaux au sein d’une direction peuvent
être pris en dehors de la période de référence). |
65070/02.12/35 |
attention aux attitudes
et aux propos tenus: Quelques
hiérarchiques ou managers de projet, minoritaires heureusement, pratique une
forme de management inacceptable.
Langage de charretier, grossièretés, mise en cause des compétences en
public à la limite des insultes. Ces cas rares il y a quelques années ont
tendance à l’être moins aujourd’hui. Le stress professionnel subi et sans
doute des difficultés liées à la pression des objectifs, au manque
d’effectifs ou de moyens dans les équipes ne justifient pas de telles
attitudes. Le
risque à laisser s’installer ces comportements, c’est de voir ce type de
communication s’étendre rapidement par réaction à l’ensemble du site avec les
conséquences que l’on imagine sur le relationnel et une dégradation
prévisible de l’efficacité collective. Même
si la plus grande majorité des managers ne se comporte pas de cette manière,
il n’est humainement pas admissible de laisser des salariés subir ce type de
pression très fortement anxiogène. SUD
réclame qu’un message fort soit passé rapidement à l’ensemble des managers
ayant un rôle hiérarchique ou non pour rappeler à quelques uns que le manque
de respect de l’individu est une faute sanctionnable par l’entreprise ou des
instances extérieures si besoin. |
Le respect de l’individu fait partie de l’éthique de
l’entreprise. |
65070/02.12/36 |
Info BPU disparue: Les
½ journées obtenues par mois à partir de 58 ans ne figurent plus dans BPU sur
une ligne explicite. Ayant perdu l’info,
les salariés concernés sont obligés de lancer des calculs sur leur CTI pour
vérifier que le compte est bon, beaucoup ont du mal à s’y retrouver. SUD
réclame que l’info figure à nouveau de manière explicite et détaillée. |
Lorsque le salarié accède à ses
compteurs congés via le portail RH, les collaborateurs qui en bénéficient
peuvent bien voir l’état de leur compteur congés de fin carrière (acquis à
partir de 58 ans). |
65070/02.12/37 |
Hygiène réfectoire: Les utilisateurs du réfectoire situé au 7B Mezzanine
dans la ruche, voient l'hygiène se dégrader de plus en plus. Les
réfrigérateurs et les fours micro-ondes sont dans un état affreux, aucun
nettoyage n'est fait depuis très longtemps. Fut un temps, c'était un
prestataire de service qui nettoyait ces appareils. SUR réclame : 1. Pour
le très court terme, un nettoyage en urgence de ce réfectoire 2. De
savoir si le nettoyage du réfectoire entre bien dans le contrat de prestation
passé avec Renault. 3. Si
oui, que la direction fasse le nécessaire auprès de Vestalia pour que cette
prestation soit assurée. 4.
Si non, que cette prestation soit
remise au contrat. |
Le problème a été pris en compte et va être réglé. |
65070/02.12/38 |
Programmation du
chauffage: Nous étions déjà intervenus les années précédentes pour soulever
ce problème. La diminution programmée du chauffage n’est pas en adéquation
avec les horaires de travail des résidents. Conséquence, la température
descend alors que des salariés sont encore à leur poste pour au mois 1h. SUD réclame à nouveau que des modifications de la programmation
soient effectuées afin de caler la descente progressive de la température
après que les salariés aient quitté leur poste. |
Il faut préciser les zones concernées
puisque la programmation a été étendue. |
65070/02.12/39 |
Horaire d'ouverture de
l'infirmerie: Il
semblerait qu’après 17 h la venue de salarié à l’infirmerie puisse poser des
problèmes d’organisation pour le nombre d’infirmières présentes. SUD
réclame de connaître les horaires d’ouverture de l’infirmerie et l’heure
jusqu’à laquelle il est possible de recevoir des salariés pour des problèmes
de faible gravité. |
L’infirmerie de l’Avancée est ouverte de 7h00 à
17h48.
L’infirmerie du Gradient est ouverte de 8h00 à 16h48. |
65070/02.12/40 |
Fouille des boites à
gants: SUD
réclame de connaître les raisons pour lesquelles il est demandé à leur sortie
au PC4, pour les véhicules personnels des salariés handicapés stationnés sous
la ruche, l’ouverture pour inspection de la boîte à gants. |
Toutes personnes se présentant en sortie au poste
de garde peuvent faire l’objet d’un contrôle visuel avec l’accord du
propriétaire du véhicule. La boîte à gants fait partie, comme le coffre, des endroits
où il peut être dissimulé du matériel. |
65070/02.12/41 |
Déodorisant sanitaires: A
la question n°66 du mois dernier concernant l’absence de nocivité des
systèmes automatiques de vaporisation de déodorisant dans les blocs
sanitaires, la direction a répondu dans son compte-rendu que le service des
conditions de travail documentait la question. SUD
réclame de connaître les réponses aux questions posées. |
La question est en cours de documentation. |
65070/02.12/42 |
Formation sécurité: Dans
le dernier numéro de GLOBAL revue institutionnelle de l’entreprise, la
direction vante les mérites de la formation à la sécurité sur la
problématique de la formation à et à la prévention des risques des véhicules
électriques des pompiers professionnels et volontaires. SUD
réclame de savoir : 1.
Quelle a été la formation dispensée aux pompiers
de l’établissement sur le sujet véhicule électrique. 2.
Si le contenu est le même pour tous les
intervenants du site |
Un référent de la société SAMSIC est formé par un
expert de Renault spécialisé sur le risque incendie spécifique aux véhicules
électriques. Ce référent a pour mission de cascader ce module et de former
l’ensemble des intervenants SAMSIC. De plus, une information sur les risques spécifiques
aux équipements VE de la gamme Renault est dispensée à l’ensemble des
intervenants internes et entreprises extérieures par la DGMPE. |
65070/02.12/43 |
Fréquences visite
médicale: Un
salarié nous demande pourquoi les visites médicales s’espacent dans le
temps ? « Plus
de trois années sans visite » alors que des salariés ont des
prescriptions particulières au poste de travail. Par
exemple : Travail
dans le froid en enceinte climatique – 30 °C Conduite
sur piste au CTA. Travaux
sur véhicule ou banc d’essais des véhicules électriques. Travail
dans le bruit comme à la soufflerie de ST CYR Prise
de sang pour les salariés au contact avec des produits chimiques. Suivi
amiante… SUD
réclame de savoir : 1.
Quelles sont les règles de fréquences de ces
visites dans de pareil cas ? 2.
Quelles sont les obligations légales ? |
Un retard dans les visites s’est effectivement
creusé mais le service médical met tout en œuvre pour le rattraper. |
65070/02.12/44 |
Défibrillateur: Sachant que
chaque minute compte en cas de crise cardiaque, Sud réclame qu’une
information soit faite sur l’établissement afin que chaque salarié sache les
modalités d’utilisation de ces appareils. Où sont-ils,
combien d’appareils sont disponible, par bâtiments, etc.… SUD réclame
qu’une information soit faite à tous les salariés. |
Les pompiers du site et les services médicaux en
sont équipés. Ainsi, le temps d’intervention est de moins de 4 minutes. |
65070/02.12/45 |
Restauration
rapide et plateaux repas: SUD réclame quel est le bilan du nombre de
plateaux repas servis en réunions de travail par la société ELIOR ? SUD réclame quel est le nombre de sandwiches
vendu chez PAUL ? |
55 plateaux par jour en
moyenne. Sandwich
avec boisson et/ou dessert : 123 par jour en moyenne. Sandwichs
seuls : 339 par jour en moyenne. |
65070/02.12/46 |
Plateaux repas: SUD réclame de connaître le nombre de réclamation
du « non débarrassage » des plateaux repas servi dans les
salles de réunions. |
Entre
10 et 15 pauses ELIOR non débarrassées en 2011. |
65070/02.12/47 |
Restauration et TVA: La TVA est
passée à 7 % pour la restauration d’entreprise. A notre
connaissance aucune information n’a été relayée dans les restaurants pour en
informer les salariés. SUD réclame
que cette augmentation soit prise ne charge sur le budget subvention du repas
par RENAULT. |
Un
affichage du changement de TVA a été mis en place dans chaque restaurant le 3
janvier dernier. La
décision gouvernementale pour cette augmentation impacte l’employeur et les
salariés. |
65070/02.12/48 |
Respect de la vie privée
des salariés: La dotation
de nouveau matériel informatique et bureautique de plus en plus performant
style « Smartphone » rend la vie privée
de certains salariés de plus en plus compliquée, la problématique des cartes
SITA est un exemple. Et l’argument de la direction
consistant à nous expliquer que la désactivation des cartes SITA est
impossible dans une entreprise internationale n’est pas acceptable. Nos concurrents directs, comme le
groupe Volkswagen a su engager des négociations pour inhiber ces systèmes
bureautiques SUD réclame qu’un travail soit engagé
avec les IRP sur ce problème. |
Les
personnes en charge de la messagerie de Renault, travaillent depuis fin
2011 sur la possibilité d’avoir une solution permettant d’intégrer les
Smartphones personnels dans Nouméa. Cela induit une attention toute
particulière de ces équipes sur les domaines : de la sécurité, de
l’intégration des services et du respect de la vie privée. Ce
dernier sujet est d’autant plus important que récemment un concurrent de
RENAULT a mis en place une politique de coupure en dehors des heures ouvrées
pour gérer cet aspect vie privée/publique. C’est
donc un sujet sensible sur lequel l'équipe messagerie Renault focalise toute
son attention. |
65070/02.12/49 |
Congés forcés du 22 12
2011: Combien de personnes ont posé le 22
décembre comme journée de congés ? SUD
Réclame : Parmi les personnes qui ont posé ce congé forcé, quels sont
par catégories le nombre de jours débités ? |
Sur un effectif de 10 394
personnes, 5 621 présents et 4 773 absents le 22 décembre 2011. |
65070/02.12/50 |
Congés préparation à la
retraite: Les
salariés bénéficiant du régime des carrières longues et qui partent avant
l’âge de 60 ans ne bénéficient pas de la réduction de 4 heures par semaine, 2
jours par mois à concurrence de 22 jours pour l’année. (Accord de 1991) SUD
Réclame que ces salariés bénéficient au même titre que tous les salariés des
mêmes droits, c’est à dire l’abaissement de cette mesure à 57 ans, 58ans ou
59 ans. |
Cette question ne peut être traitée
dans le cadre de cette instance. Cette revendication nécessite une évolution
de l’accord d’entreprise. |
65070/02.12/51 |
Congés maternité: On
ne trouve pas trace sur déclic, des 2 semaines de congés spéciaux (retour
congés maternité) autres que les 15 jours "pathologie" SUD
réclame de connaître le lien ou la localisation de cette info sur déclic |
Le document disponible dans l’Espace
RH (dans Gestion de mon temps de travail, Informations, règles et formulaires
sur le temps de travail/congés) précise ces éléments en page 9. |
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65070/02.12/ |
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